Le recours collectif des propriétaires et chauffeurs de taxi et limousine contre Uber

Recours collectif contre Uber

Le 23 janvier dernier, après 11 mois de procédure, la Cour supérieure a autorisé, les 10 000 propriétaires de permis et chauffeurs de taxi et limousine à travers la province à entreprendre un recours collectif contre Uber.

 

Ce jugement permet aux chauffeurs et propriétaires de taxi de se regrouper et d’entamer une action collective évaluée à plus de 300 millions de dollars contre Uber afin d’être indemnisés.

 

À se rappeler qu’Uber est arrivée au Québec à l’automne 2014 et a commencé à travailler illégalement jusqu’à ce qu’un projet pilote de 1 an fut adopté par le gouvernement Coulliad le 15 octobre 2016.

Pendant ces trois années, Uber a exercé concurrence déloyale en vers les chauffeurs. Il a provoqué une chute drastique des revenus des chauffeurs et une baisse de valeur des permis.

 

Conséquences :

 

  • Les chauffeurs ont subi des pertes de revenus considérables d’une moyenne de 50 dollars par jour.
  • Les propriétaires de taxi ont subi une baisse énorme des prix des permis qui ont chuté jusqu’à une moyenne de 150000 dollars.

 

Le temps est venu de réclamer justice et réparation en indemnisant les chauffeurs et de payer .

Le tribunal autorise donc un recours afin de savoir : « si Uber a exercé de manière illégale, avant le projet pilote qui a débuté le 15 octobre dernier».  Si cette affirmation devait s’avérer positive, Uber devra indemniser les taxis autant pour les pertes de revenu que pour les pertes de la valeur de leur permis.

Toutefois, avec la grève des avocats de l’État qui sévit présentement au Québec, les procédures pourraient être retardées.

Le Regroupement des travailleurs autonomes Métallos (RTAM-Métallos) a mandaté l’avocat Me Marc-Antoine Cloutier pour intenter ce recours.

Il est à rappeler que RTAM-Métallos, représente environ 4000 propriétaires et chauffeurs de taxi.

Le syndicat invite les chauffeurs et propriétaires de taxi et limousine intéressés à s’inscrire au recours collectif en consultant le site www.recourstaxirtam.org.

Pourquoi la Commission des Transport du Québec ne doit pas refuser un permis d’intermédiaire en service à Uber

IMG_20150819_135419Vous connaissez peut-être la fable du petit oisillon, de la vache et du coyote, racontée par Terence Hill dans le film «mon nom est personne».

Permettez-moi de vous la raconter en bref, en guise d’introduction pour l’objet de cet article.

Il s’agit d’un oisillon qui tombait de son nid et criait fort, tellement, il a froid.

Une vache qui passait par là a eu pitié de lui et pour le réchauffer, elle le couvre d’une bonne galette de fumier.

Le petit oisillon bien réchauffé, sort sa tête et recommence à crier plus fort qu’avant.

Un vieux coyote arrive en trois galops, le retire du tas de fumier, essuie la  crotte qui le recouvre et l’avale en une seule bouchée.

Quelle est la morale à cette histoire?

Elle est la morale des temps modernes. Ceux qui te mettent dans la merde, ne te veulent pas nécessairement du mal et ceux qui t’en sortent de cette merde ne veulent pas nécessairement ton bien

Ceci dit, revenons à nos moutons.

Depuis son arrivée au Québec en 2014, Uber exerce dans l’inégalité, bafoue les lois de transport par taxi et les lois fiscales, ne respecte pas les conditions du projet pilote, et continue de dire ne pas faire du taxi mais offre une application mobile.

Tout le monde sait ça : Les aveugles ont vu et les sourds ont entendu.

Et puis?

Bien sûr, Laurent Lessard, ministre des transports est lui-même mal placé pour faire respecter les lois aux autres.

Le projet pilote n’est qu’une fuite en avant du gouvernement vis-à-vis de ses responsabilités.

Les lois sont faites pour les faibles (les taxis), pas pour les forts et les multinationales.

C’est pourquoi, l’opposition du front commun des taxis, représenté par Guy Chevrette et Benoit Jugand, appuyé par le parti québécois, quant à l’émission par la CTQ (Commission des Transport du Québec) d’un permis d’intermédiaire en service de transport par taxi à Uber est peine perdue.

 

Quant au bureau du taxi Montréal, ex-bureau du taxi et du remorquage dont l’utilité est discutable, s’acharne particulièrement sur les chauffeurs de taxi légaux, à savoir s’il sont habillés convenablement et si leurs taxis sont convenablement entretenus.

La tâche que Mme Linda marchand a assuré comme directrice de cette organisme jusqu’à ce qu’elle soit relevée de ses fonctions, s’est fait remplacer par un nouveau directeur intérimaire de la STM M. André Poisson qui entrera en poste ce 24 octobre.

Alors que le transport clandestin bat son plein à Montréal et partout au Québec, le BTM a annoncé qu’il a effectué depuis septembre dernier 184 véhicules sans toutefois confirmer qu’ils sont des chauffeurs d’Uber.

Ce chiffre est négligeable comparativement au nombre de courses qu’Uber a effectué durant la même période.

Dans un sens, Uber a bousculé positivement l’industrie du taxi qui, longtemps a oublié que le client était leur raison d’être. On commence enfin, tant bien que mal, à se ressaisir.

C’est le cas de l’application mobile lancée par taxi Coop et qui tout comme Uber :

  • Permis de commander un taxi,
  • Permis de suivre sa progression jusqu’à l’embarquement;
  • Permis d’obtenir une estimation du prix de la course en entrant le point de départ et la destination;
  • Permis de connaitre la marque du véhicule qui vient les prendre;
  • Permis de voir sur le cellulaire du client la photo du chauffeur
  • Permis de régler la course sans avoir d’argent et de carte sur soi;
  • Et bien plus.

Tout comme Uber finalement.

 

En conclusion

  • Il y a une morale à la fable racontée ci-haut mais qu’il faut que chacun trouve tout seul!
  • Uber a apporté un nouveau souffle à l’industrie du Taxi.
  • Les nouveaux acteurs qui sont financés déjà à plus de 75% par des fonds publics, qui espèrent mettre la main sur la redevance qu’Uber payera et qui qui magouillent que les prix de revente des taxis sont inférieure à 150000$, constituent la vraie menace pour l’industrie du taxi.
  • C’est pourquoi, il sera urgent et même vital qu’Uber obtienne son Permis d’ITS que de toute manière, n’est qu’une question de temps, vu que les dés sont bipés d’avance.

Industrie du taxi : Un manque de leadership du gouvernement

IMG_20150819_132043Le manque d’une réelle volonté de modernisation de l’industrie du taxi dans tout le Québec en général et dans la grande région de Montréal en particulier.

Le choix était pourtant facile pour le gouvernement Couillard d’appliquer SIMPLEMENT les lois et de les faire respecter. C’est son devoir minimaliste mais il a préféré d’ouvrir la voie à l’anarchie, à la clandestinité et à une crise de l’industrie à venir.

 

Comment le gouvernement Couillard a démontré un manque de leadership dans le dossier de transport par taxi?

Le commun des mortels sait que

  • Uber fait du taxi clandestin et ce depuis son arrivée au Québec en 2014 en lançant UberX, l’application qui met en contact les clients et les chauffeurs-partenaires d’Uber.

 

  •  les véhicules ne détiennent pas de permis de taxi délivré par la CTQ  et que qu’ils ne sont pas soumis aux inspections obligatoires pour les taxis et ne paient pas de TPS et de TVQ.

 

  • Uber viole les lois du Québec et le gouvernement ne fait rien, d’où son manque de leadership et preuve de son incapacité à faire respecter les lois et ainsi protéger le Québec et les québécois!

 

  • Au lieu d’aider les petits travailleurs autonomes qui sont les chauffeurs et propriétaires de taxi à améliorer l’image de l’industrie, en leur facilitant l’accès à des véhicules neufs et électriques. Non, il préfère donner des millions à Alexander Taillfer (70 millions de dollars de fond public pour une entreprise privée) pour redorer le blason du taxi, il est habitué à utiliser l’argent des autres pour s’enrichir.

 

  • Le maire Denis Coderre et le Gouvernement provincial ont usé de de favoritisme en vers Teo Taxi au détriment des taxis existants, en les dénigrant et dévalorisant. Ils ont favorisé Teo, en lui donnant de l’argent des contribuables pour exploiter des chauffeurs à 15$ et en la favorisant à l’aéroport de Montréal en lui donnant des permis sans participer au tirage et en lui offrant une place de choix dans l’enceinte de l’aéroport.

Les conséquences du manque de leadership de la part du gouvernement a engendré ce qui suit:

  1. Il à changer deux fois de portefeuilles de ministre de transport,
  2. Il a été forcé de tenir des commissions publiques et parlementaires couteuses au frais des contribuables,
  3. Il a été amené à modifier, changer et adopter de nouvelles Lois,
  4. Il a laissé Uber souillé les lois du Québec,

 

Ce que fait Teo Taxi d’ Alexander Taillfer

Le concept de Teo Taxi consiste à copier des concepts existant et en apportant de l`g`re amélioration pour éviter le plagiat, à savoir :

  • Un service de voitures électriques qui existe déjà;

 

  • Une application comme celle d’UberX. Teo veut piquer l’idée d’uber et cherche à le virer;

 

  • Des voitures taxis à couleur identifié ou unique, comme on l’a toujours demandé depuis des années;

 

  • Téo emploie des réfugiés et chercheurs d’emplois qui ne connaissent pas la ville et qui acceptent le médiocre salaire de 15$ l’heure. Teo Taxi paie des chauffeurs de taxi 15$ l’heure. Si un chauffeur travaille 35 heures semaine soit 15x35x52 donne un revenu brute annuel de 27300$ avec les retenus à la source il leur restera plus en moins 14000$ dans leur poche. Voilà comment Teo taxi s’enrichi en appauvrissant les autres. Ey voilà ce que certains appelle : ‘’ bien rémunérer leurs chauffeurs’’

 Ce que fait UBER:

Les actions que Uber fait en marge du projet de loi sur l’industrie du taxi que le gouvernement couillard étudie en ce moment et s’apprête à adopter.

  • Quand un chauffeur-partenaire d’UberX reçoit une amende pour transport illégal, Uber conteste systématiquement l’infraction et rembourse tous les frais encourus par l’automobiliste. Ce dernier méprise l’infraction et recommence à utiliser l’application. Cette situation frustre la ville qui étudie la possibilité de les accuser d’outrage au tribunal.

 

  • Uber a payé la firme de sondage CROP pour placé des dizaines de milliers d’appels auprès des citoyens du Québec pour faire pression sur leurs député en regard au projet de loi sur l’industrie du taxi afin qu’Uber continue de faire du transport clandestin au Québec.

 

  • Uber bluffe et menace de quitter le Québec : ceci fait le bonheur d’Alexandre Taillfer de Téo taxi c’est ce qu’il souhaite.

 

Propositions de solutions :

avant de dire Bye Bye à Teo Taxi et Uber, des solutions existent, en voici deux :

 

  1. que Uber devient intermédiaire en service et rallier tous les véhicule taxi de la province y compris Teo,

 

  1. que les artisans taxi s’unissent pour ne pas perdre leur statut de travailleurs autonome, s’organiser en associations d’exploitant (entrepreneurs comme Teo) pour réclamer leur part du gâteau et de se dresse contre TEO.

 

Uber défie Québec et largue ses lois et règlements

espace taxiIl est important de le rappeler au nouveau ministre des transports M. Jacques Daoust que des lois et règlements existent déjà et il lui est demandé, simplement et clairement, de les appliquer.

L’absence d’un état de droit où les lois ne sont pas respectées ouvre les portes à l’anarchie et à la désobéissance.

 

L’argent achète tout le monde!

L’humoriste Martin Matte doit avoir été payé cher pour passer le message d’Uber sur les ondes de radio-canada à l’émission tout le monde en parle de Guy A. Lepage dimanche soir dernier.

Humoristiquement, il a passé le message d’Uber dans lequel il critiquait les taxis montréalais et aduler Uber.

À rappeler que la cote d’écoute de cette émission dépasse 1,2 million.

 

À croire certains chauffeurs d’Uber questionnés, régulièrement, sur leur activité illégale, ses derniers confirment qu’

  • Uber avait hâte à la nomination du nouveau ministre des transports Jacques Daoust avec qui Uber aurait des affinités pour légaliser UberX. Il est, possiblement, derrière le remaniement ministériel du gouvernement Couillard.

 

  • ils font beaucoup d’argent pour le peu d’heures qu’ils travaillent. À en croire un d’eux, pour la seule soirée du 31 décembre au 1er janvier dernier avait fait plus de 800$ net. Pas de taxes ni d’impôts à l’exception du 20% déjà prélevé par Uber.

 

 

  • Ces derniers confirment aussi que les prix exercés par Uber sont variables et soumis à un multiplicateur, selon l’offre et la demande.

 

  • Confirment aussi que la police ne s’intéresse pas à eux et ne les achale pas. Par contre, ils vivent constamment le stress que les inspecteurs du bureau du taxi leur saisissent leurs véhicules.

 

 

  • Il confirme aussi que Uber paie pour les véhicules saisis, les avocats d’Uber défendent en justice les fauteurs jusqu’à concurrence d’un Million de dollars.

 

  • Confirment aussi frauder les compagnies d’assurances.

 

  • Les coupons Cool Taxi, que les jeunes ne peuvent utilisé avec Uber, après une soirée bien rosée

 

 

  • Le transport adapté n’est pas la priorité d’Uber et les personnes à mobilité réduite n’ont pas leurs places.

 

Le transport clandestin : un service de taxi citoyen

 

Tolérer Uber revient à accepter le transport clandestin. Ainsi, Monsieur et Madame tout le monde intéressés, sont invités à faire du transport de personnes.

En faisant du transport clandestin,

 

  • Vous n’avez pas à payer 20%, prélevé préalablement par Uber pour chaque course que vous faites;

 

 

  • Vous n’avez pas à suivre de formation niaiseuse et obligatoire de trois mois pour devenir chauffeur de taxi;

 

  • Vous n’avez pas à payer cette formation au coût direct de 1200$, trois mois sans salaire et les autres frais reliés à la formation.

 

 

  • Vous n’avez pas à payer des frais de location de 360 à 700$ par semaine;

 

 

 

  • Vous n’avez pas à suivre une formation niaiseuse et obligatoire de mise à jour de deux jours pour 50$ en plus de ne pas être payé pendant deux jours pour renouveler votre permis de chauffeur.

 

  • Vous n’avez pas à fournir un certificat de recherche négative au coût de 105$.

 

  • Vous n’avez pas à avoir un permis de classe 4C, votre permis de classe 5 est largement suffisant.

 

  • Et vous n’avez pas à remettre votre permis de chauffeur de taxi précédent pour le Bureau du Taxi.

 

Autrement dit avec du transport clandestin, les Québécoises et les Québécois auront droit à un transport sécuritaire puisqu’ils seront transportés tout comme on transporte son conjoint ou ses enfants, à un prix très abordable puisqu’il sera négocié au préalable et vous aurez droit à un service amical.

 

Nous sommes rendus là! C’est ça la justice?

Des chauffeurs de taxi font la police pour identifier, piéger, attraper et dénoncer aux policiers les chauffeurs d’Uber alors que ses derniers (SPVM) surveillent les chauffeurs de taxi et les menacent de se retrouver avec un casier judiciaire s’ils osent poser des gestes pour dénoncer leurs ras-le-bol et d’attirer l’attention des bornés et sourdes oreilles des responsables de transport.

Pendant ce temps-là,

  • Uber défie l’autorité et les lois. De ses chauffeurs, personne ne se retrouve avec un casier judiciaire ni se sente menacé.

 

  • Le Ministre des transports Jacques Daoust demande et supplie Uber de cesser ces activités au lieu tout bêtement d’appliquer les lois.

 

  • Le gouvernement fuit en avant, en mettant encore et encore des commissions publiques, des commissions parlementaires et des commissions inutiles et couteuses. A quoi sert la commission des transport du Québec (CTQ)qui coute les yeux de la tête au contribuables?

 

Espérant que le maire de Montréal Denis Coderre restrera ferme face à ce ministre désigné pour régulariser UberX et exigera fermement l’application des lois et règlement du Bureau du taxi Montréal face au transport illégal.

 

Uber a enflammé Paris, allait-il enflammé Montréal?

C’est quoi le problème des chauffeurs de taxi à Montréal?

IMG_20150819_132122Ouvrir la portière de son véhicule taxi à une femme, un vieux… à sa cliente ou client, est-ce trop demandé pour un chauffeur de taxi?

D’un côté, les chauffeurs se plaignent de la baisse significative de leurs revenus, due à la concurrence illégale des chauffeurs clandestins, employés par Uber, et de l’autre côté ils font de l’immobilisme, en espérant que la situation changera en leur faveur.

 

Comme disait Albert Einstein :« les mêmes effets produisent les mêmes résultats – faire toujours la même chose et espérer à des résultats différents» C’est insensé, n’est-ce pas?

 

Uber, s’il voulait se conformer aux lois (Loi de l’impôt et fiscale comprises) et règlements de transport par taxi en devenant un intermédiaire en service (d’ailleurs, c’est ce qu’il fait!),

  • il signera la fin définitive de tous les autres intermédiaires (Taxi Hochellaga , Diamond et les 15 autres ITS),
  • verra les 4500 véhicules de taxis et
  • les 11625 chauffeurs certifiés que compte Montréal arborer ses couleur.

Mais la vision d’Uber dépasse de loin ce cadre archaïque et restreint.

Pourquoi se limiter à 4500 véhicule quand on a la possibilité de faire travailler tous les véhicules de l’ile et de ceux de l’extérieur de l’ile… la liberté illimitée!!

 

Est-ce que le gouvernement et les autorités locales ont perdu le contrôle de la situation?

Le contrôle soit on la «OUI», soit on ne l’a pas «NON». Pas de … Oui, mais… N’est-ce pas Mme «Ouimais»?

A partir du moment où les lois et règlements qui encadrent l’industrie du taxi, les lois fiscales et autres sont bafoués par Uber et ce depuis 2014, il est temps de se dire les vraies choses, non?

La preuve même le ministre des transports Robert Poeti a fini par reconnaitre qu’UberX est un service illégal… Mieux vaut tard que jamais!

 

Trouvez-vous normal qu’un chauffeur de taxi pour renouveler son permis doit payer :

  • 105 $ pour la vérification des antécédents judiciaires;
  • 110$ pour renouveler son permis de chauffeur de taxi pour qui il a payé 1500$ et trois mois de formation
  • 25 $ pour deux jours (sans salaire) de formation continue est obligatoire?

Pendant ce temps-là, les chauffeurs d’Uber enrichissent leur employeur en automatique et se font du « cash» libre d’impôts.

Ministre des transport

Des inspecteurs pour contrer le transport illégal à Montréal

IMG_20150819_132043Dans le but de lutter contre le transport illégal, en général et Uber, en particulier, le Maire de Montréal Denis Coderre injecte de l’argent supplémentaire pour recruter de nouveaux inspecteurs, attirés au Bureau du Taxi Montréal (BTM).

À compter du 31 août 2015 prochain, deux postes d’inspecteurs temporaires seront ajoutés au Bureau du Taxi Montréal pour renforcer l’équipe d’inspecteurs en place, qui travaille déjà d’arrache-pied dans les multiples infractions liées au transport illégal dans la métropole québécoise.

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UberX : Uber lance son application de covoiturage commercial à Montréal

uberxC’est aujourd’hui (hier) à 10heure du matin qu’Uber a lancé son application de covoiturage commercial dans la métropole montréalaise.
Ce qui veut dire que dorénavant, toute personne qui le désire, peut s’improviser chauffeur de Taxi à Montréal et ce quand bon lui semble.

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