Élections municipales du 3 novembre 2013 : Silence et indifférence des candidats au regard de l’industrie du taxi à Montréal

courrez Aucun candidat aux élections municipales du 3 novembre 2013, à l’exception de l’équipe Marcel Côté, n’a osé aborder et parler de ses positions en  ce qui a trait à l’industrie du taxi à Montréal.

 

Les sites des candidats n’en parlent pas et n’offre aucune possibilité de leurs faire part de nos préoccupations, à moins que vous ne soyez censurer ou ignorer.

 

Il est important de le rappeler que depuis quelques années déjà que cette industrie reçoit coup sur coup avec l’avenue des transports alternatifs qui poussent comme des champignons à Montréal et crée un déséquilibre, toujours au détriment du taxi.

 

L’industrie du taxi de la grande région métropolitaine subit ses concurrents directs, soit, l’autobus 747 de la STM vers l’aéroport international de Montréal à Dorval, Comuneauto, Bixi et tout récemment, Car2Go.

 

L’équipe de Marcel Coté a pris position en tenant le Taxi un partenaire pour le transport en commun, à part entière  et chaque candidat clé a exprimé sa vision de l’industrie et des intervenants. Voici ce qui a été dit par chaque candidat :

 

Marcel Côté, chef de Coalition Montréal et candidat à la mairie :

 

  • «Depuis quelques années, les modes de transport alternatifs se multiplient à Montréal et la Ville accordera la même considération à l’industrie du taxi. Je crois qu’il est plus que temps que cette industrie devienne, elle aussi, un partenaire à part entière du transport collectif montréalais. Pour ce faire, j’entends lui témoigner le respect qui lui revient comme partenaire de la Ville. Ce respect doit se manifester chez les élus, chez les fonctionnaires et chez les policiers. Il doit aussi s’illustrer par une amélioration de la collaboration entre le Bureau du taxi et la Société de transport de Montréal ainsi que par une multiplication de l’offre de services de taxi collectif et l’implantation du taxi-partage. »

 

 

  • « Hier, le premier service de taxi-partage a été déployé. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les Montréalais, qui pourront ainsi réduire simultanément le coût de leur course et leurs émissions de gaz à effet de serre. Nous soutiendrons cette initiative. Mais à Coalition Montréal, nous souhaitons aller encore plus loin en misant sur les taxis collectifs. Certaines lignes d’autobus de la STM sont déficitaires. Nous souhaitons y implanter des trajets de taxi collectifs de manière à offrir un service performant, mais moins coûteux, aux Montréalais. Cette solution est d’autant plus pertinente que la Société anticipe un déficit d’exploitation de 15 millions de dollars en 2013 et de 60 millions en 2014. Des sommes qui devront être déboursées par la Ville de Montréal »

 

 

  • « Au cours des prochaines années, les travaux de réfection de nos infrastructures multiplieront les chantiers à travers Montréal et, par le fait même, la congestion. Les Montréalais doivent opérer un changement vers les modes de transport collectifs. Mon équipe et moi sommes persuadés que l’industrie du taxi a un rôle à jouer pour compléter l’offre de transport de la métropole »

 

Louise Harel, codirectrice de Coalition Montréal et candidate au poste de conseillère :

  • « Au cours de mon précédent mandat, j’ai travaillé activement pour redonner aux propriétaires et aux chauffeurs de taxi le rôle qui leur revient dans la gestion, la performance et le développement d’une industrie essentielle à toute grande métropole dans le cadre du nouveau Bureau de taxi. »

 

 

  • « Je souhaite maintenant m’assurer que ce mode de transport est mieux intégré dans la planification des déplacements sur l’île. Mais pour qu’une telle planification d’ensemble soit possible, des liens durables doivent être établis entre l’industrie du taxi et la Société de transport de Montréal (STM). Nous nous engageons donc à ce qu’un représentant de l’industrie siège au conseil d’administration de la STM, ce qui nécessitera une modification à la Loi sur les sociétés de transport en commun. Je suis persuadée que davantage de collaboration entre la STM et l’industrie du taxi améliorera l’intermodalité à Montréal».

 

Soraya Martinez, candidate à la mairie d’arrondissement :

 

« Les taxis collectifs sont également une manière concrète de mettre à profit l’industrie du taxi pour bonifier l’offre de transport collectif dans les zones où l’achalandage est plus faible, et ce, à faible coût pour les Montréalais. Dans certains secteurs de l’île de Montréal, la planification d’une offre de taxis collectifs s’avérerait une solution avantageuse pour tous »

 

Élias Bitar candidat au poste de conseiller d’arrondissement :

« Les propriétaires et les chauffeurs de taxi peuvent compter sur Marcel Côté afin d’exercer le leadership nécessaire dans ce dossier. Le taxi est un tremplin professionnel important pour de nombreux Montréalais. Toutefois, les conditions dans lesquelles ils exercent leur métier doivent être améliorées afin que leur travail soit reconnu à sa juste valeur. Le taxi contribue beaucoup à l’offre de services touristiques de la métropole, en plus d’offrir un service rapide et de bonne qualité pour les Montréalais »

 

 

Mes vacances à Cuba

Mes vacances à Cuba :

Aujourd’hui, je vais me permettre de revenir sur mes dernières vacances à Cuba dans les caraïbes et de vous raconter un peux sur cet agréable paradis.

Pourquoi j’ai choisi Cuba?

J’ai tellement entendu parler de Cuba par des collèges et clients que je me suis penché sérieusement sur cette destination.

–          Le coté sécuritaire : Je ne crois pas qu’il existe une place plus sécuritaire pour passer des vacances en paix et en toute quiétude. Cuba offrait réellement se sentiment de paix pour un vacancier qui souhaite avoir des vacances calme sans aucun incidents.

–          La qualité du service : le personnel de l’hôtel, que ce soit en chambres, dans les restos, les piscines ou sur la plage c’est tout simplement agréable. Les gens très accueillant, toujours souriant et prêts à vous aider. Et quelle fût ma surprise? Le personnel parle français et tout le monde s’essaye pour en apprendre la langue. On s’entend que tous parlent espagnole et anglais mais se faire servir partout, partout en français, ça c’est toute une surprise pour quelqu’un qui espère perfectionner son espagnole comme moi!!

–          Dans le complexe où j’ai séjourné, il y avait un buffet, trois restaurants à la carte, soit un japonais, un italien et un cubain. Le meilleur reste la pizza faite sur place au bord de la plage, ça c’est un vrai régal. Il y a, évidement le bar à sandwich, qui lui est ouvert 24 heures. Le bar-open où l’alcool est servi à volonté mais bien sur la modération est toujours meilleure.

 

La plage avec son sable blanc, les cocotiers qui la longe et tous les beaux arbres qu’on y trouve, il y a de quoi vivre un Wow! La mer turquoise toujours calme et reposante à couper le souffle…

 

Malgré que j’ai choisi mon voyage à la dernière minute, à cause du mauvais temps qui faisait à Montréal, toujours temps pluvieux et de peur de rater mes vacances, j’ai opté pour cuba en voyage de dernière minute pour prendre le vol le lendemain. Le prix était comme même un peu élevé mais ça valait la peine.

La compagnie aérienne avec qui j’ai voyagé c’est tout simplement formidable, le service, la ponctualité et la prise en charge des clients du début jusqu’à la fin.

 

Moi, je voulais aller à Cayo Coco pour sa tranquillité, il parait, mais il ne restait que Varadero au moment que je réservais. C’est un choix fabuleux pour des vacances inoubliables et une tête pleine de souvenir. Une destination recommandable particulièrement aux familles avec de petits enfants car il y a de tous pour les enfants, une prise ne charge totale du matin au soir, si ce que vous voulez.

 

Bref vives les vacances, vives les caraïbes et viva Cuba!!

J’y retournerai certainement.

 

Le Taxi à Varadero, Cuba :

Wow! Quelle joie de voir toutes cs belles voitures des années 50 qui ont conservé complètement leur beauté original. Je me demande comment il ont fait pour les conserver en état de marche et faire du service par taxi avec? Monter dans une Cadillac de ces années-là, c’est vraiment un plaisir.

Ces vieilles voitures taxi appartiennent aux particuliers. Il existe des nouvelles voitures taxi en voitures nouvelles qui appartiennent au gouvernement Cubain.

Il y a aussi les motos tricycles en taxi-Yellow, ça c’est un modèle que je pensais exister  seulement en chine mais à ma grande surprise, il y en a à  Varadero et en plus neufs. J’ai trouvé ça original.

Évidemment, il y a les calèches et charrettes qui font aussi du service taxi au aux mêmes tarifs que les autres modes de taxi cité ci-dessus.

 

Il est bien important, avant de monter dans un taxi, de négocier le prix à l’avance et d’être sûr que c’est pour un, deux ou autant de personnes pour ne pas en avoir de mauvaises surprise à la fin du voyage.

Les chauffeurs de taxi à Varadero vous sollicitent trop pour monter dans leur taxi, dès que vous êtes en train de marcher. Mais vous n’êtes pas obligé de monter, surtout c’est vous voulez juste faire une marche…

 

… Mes prochaines vacances?….C’est en novembre prochain. La destination?….A vous de devinez.

Taxi: jamais deux sans trois:

Taxi: jamais deux sans trois: 

Encore une autre fois, l’industrie du taxi, particulièrement à Montréal vient de recevoir un coup de fouet, en annonçant le déploiement d’un nouveau service d’autopartage à compter du 2 novembre prochain.

La compagnie américaine des Smart Car2Go mettra en autopartage, pas moins de 250 voitures à Montréal dans les trois arrondissements suivants, pour le moment du moins, soit : Plateau-Mont-Royal, Côte-Des-Neiges-Notre-Dame-De-Grace et Rosemont-Petite-Patrie.

Ce nouvel acteur qui arrive pour faire la concurrence aux taxis qui en arrachent déjà avec les prix de l’essence, les travaux interminables des rues, les Bixis, la navette d’autobus 747 vers l’Aéroport Trudeau et enfin Communauto.

Comment est-il possible encore à l’industrie du taxi de Montréal d’exister? L’avenir nous le dira.

 

Le Ford Transit Connect Taxi 2014 dévoilé

le ford transit connect taxi2014

Dans la plupart des grandes villes américaines, le choix préféré de l’industrie du taxi a toujours été la grosse berline à motorisation V8, comme le Ford Crown Victoria. Toutefois, les temps ont bien changé.

À partir de l’an prochain, une nouvelle génération de taxis apparaîtra, et Ford tentera de s’approprier du marché avec le Transit Connect Taxi 2014. Il rivalisera, entre autres, le Nissan NV200 Taxi.

Ce nouveau Transit Connect Taxi disposera d’un quatre-cylindres de 2,5 L à essence, mais qui pourra également être converti pour fonctionner au gaz naturel compressé (CNG) ou au gaz de pétrole liquéfié (LPG). La possibilité de fonctionner avec un de ces trois types de carburant rend le Transit Connect Taxi unique dans son segment de marché, et aiderait à réduire les frais d’exploitation.

Le Ford Transit Connect Taxi 2014 comprend également un plancher abaissé pour un accès plus facile, et Ford prévoit que leur véhicule dominera son segment au chapitre de l’espace intérieur.

« Le nouveau Transit Connect Taxi a été conçu avec le conducteur d’un service de transport et les passagers en tête, en créant un produit combinant du style et un confort accru à la fiabilité légendaire de Ford, » a cité Gerald Koss, directeur du marketing des flottes chez Ford.

La production du Ford Transit Connect Taxi 2014 s’amorcera au début de l’an prochain. Son prix au Canada n’a pas encore été dévoilé.

 

 

 

 

 

Source : autogo.ca/actualite/nouvelles-automobiles/le-ford-transit-connect-taxi-2014-devoile

L’industrie du taxi est la prochaine cible de Revenu Québec

L’industrie du taxi est la prochaine cible de Revenu Québec
Après l’industrie de la restauration, maintenant c’est au tour des chauffeurs et propriétaires de taxi de rendre des comptes sur les taxes perçues de leurs clients.
Selon le journal La Presse Affaires, Revenu Québec s’attaque à l’évasion fiscale dans l’industrie du taxi et souhaite récupérer 73 millions de dollars par année auprès des propriétaires de permis de taxi et de permis de chauffeur de taxi qui seront dans la ligne de mire du fisc.
Le problème est sérieux: plus du tiers des 22 700 détenteurs de permis, au Québec, ne sont pas inscrits au fichier des taxes et ne retournent pas la TPS et la TVQ qu’ils perçoivent de leurs clients.
«Nous avons fait ce constat. Le problème est assez répandu», confirme le chef des relations publiques à Revenu Québec, Stéphane Dion. Il estime ainsi que 7600 chauffeurs de taxi roulent dans la mauvaise direction fiscale.
Pour amener les chauffeurs fautifs à se conformer, Revenu Québec soutient vouloir emprunter la méthode douce et s’apprête à leur envoyer des lettres de sensibilisation et d’incitation à s’inscrire au fichier des taxes. Une stratégie qui prendra la forme d’une campagne de «conformité fiscale» faisant appel à la collaboration des principaux acteurs de l’industrie.
«Nous voulons néanmoins agir rapidement, précise Stéphane Dion. C’est une somme importante, 73 millions, en pertes fiscales annuellement. Les utilisateurs du taxi et les contribuables sont en droit de s’attendre à ce que les taxes qu’ils paient soient remises au gouvernement. De leur côté, les chauffeurs qui respectent leurs obligations n’ont pas à subir les conséquences de cette concurrence déloyale de la part de ceux qui ne se conforment pas.»
Revenu Québec semble vouloir emprunter, avec le taxi, le même chemin que celui qui a favorisé l’installation de modules d’enregistrement des ventes dans les restaurants, «qui s’est avérée un succès», soumet Stéphane Dion, en faisant allusion aux pertes fiscales annuelles de 420 millions dans la restauration.
Chauffeurs de taxi nerveux
Or, aux postes de taxi, les chauffeurs sont nerveux, particulièrement ceux qui omettent depuis nombre d’années de retourner les taxes qui sont incluses dans le prix d’une course, et qui font augmenter les tarifs affichés au taximètre.
«C’est certain que ça en fatigue plusieurs», constate Laval Bilodeau, président du Regroupement des propriétaires de taxi de Montréal (RPTM). Ce chauffeur âgé de 65 ans, et qui affiche la bannière Coop Taxi, dit avoir entendu des chauffeurs remettre en question leur gagne-pain en raison de cette exigence du fisc de ne pas enfreindre les règles, sous prétexte que leurs revenus sont déjà insuffisants.
Dory Saliba, président de Taxi Hochelaga, ne veut pas jeter le blâme aux chauffeurs qui ne retournent pas les taxes. «Il y a une bonne proportion, à mon avis, qui sont tout simplement mal informés, et qui n’agissent pas de mauvaise foi.»
Mais il ajoute: «Il est important de suivre les règles et nous sommes d’accord avec les actions visant à faire tourner notre industrie dans la bonne direction. Nous avons besoin de gens honnêtes.»
Chez Taxi Diamond, plus importante bannière au Québec avec 1070 taxis qui affichent son losange, Denis Laramée croit que «ce ménage-là sera salutaire».
«Il y a une perception, dans le public, voulant qu’il y ait encore trop de chauffeurs qui travaillent au noir, déplore-t-il. Si cette intervention de l’État peut contribuer à rehausser notre image, c’est tant mieux. Parce qu’il y a beaucoup d’honnêtes commerçants qui gagnent leur vie convenablement.»
Le resserrement fiscal qui touchera le taxi survient au moment ou le nouveau Bureau du taxi de Montréal s’apprête à se réunir pour la première fois afin d’établir les priorités dans cette industrie.
«Il y en a qui affirment qu’il y a trop de permis et que les chauffeurs ne touchent pas assez de revenus pour bien vivre, et que les journées de travail sont trop longues, à raison de 12 heures par jour», rapporte le président du conseil d’administration du Bureau, Réal Ménard, responsable du dossier transport à la Ville de Montréal.
Il n’était pas au courant, lundi, de l’offensive de Revenu Québec auprès des chauffeurs.
En conclusion, le temps est venu de redorer le blason de l’industrie de taxi, de corriger les anomalies, de rendre justice aux honnêtes chauffeurs et d’instaurer un système juste et équitable pour tous.

Source : La Presse des affaires

Lancement de six nouveaux taxis MV-1

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Lancement de six nouveaux taxis MV-1

Le transport adapté pour personnes à mobilité réduite et handicapés bénéficie dans ce projet pilote de dix semaines de taxi universellement accessible. Depuis le 25 février dernier, six prototypes nouveaux taxis MV-1 sillonnent les rues de Montréal, Laval et Longueuil. A noter, que c’est une première au Québec mais à travers le Canada, Ottawa, Winnipeg et la ville de New-York en possède présentement 250. Ces taxis MV-1 sont disponibles  à la fois pour la clientèle régulière et handicapée.

Grâce une rampe déployable sur les côtés, peut accueillir un fauteuil roulant à l’intérieur du véhicule et jusqu’à quatre passagers.

L’objectif premier de ce projet est d’évaluer la réaction des clients à ce type de véhicule.

Avantages :

–      Spacieux, comparativement aux véhicules de transport adapté actuel. Ainsi le client à mobilité réduite ou lourdement handicapé entre directement avec le fauteuil roulant dans le taxi;

–      Massif

–      Sécuritaire

–      Confortable

Inconvénients:

–      Véhicule, relativement cher, le prix de base aux États-Unis est de $40,000. Avec l’option gaz naturel, on ajoute au prix de base $9,000.

–      La consommation de carburant est très importante avec les prix actuel de l’essence et considérant le moteur V8 et le poids de plus de 5000 livres.

Ils ont dit :

–       Dory Saliba, Président du Comité provincial de concertation et de développement de l’industrie du taxi (CDCDIT) : « Ça fait longtemps qu’on l’attend».

–      Rosanne Couture, Directrice générale de l’Alliance des regroupements des usagers de transport adapté du Québec : «Pour les passagers à mobilité réduite, se déplacer est toujours problématique. C’est un pas très important pour le Québec».

–      Denis cartier, Consultant pour MV-1 Canada : «Un jour, on souhaite qu’il y en ait plein dans les rues et que les personnes à mobilités réduites puissent héler un taxi dans la rue au même titre que la clientèle régulière».

Formation de chauffeur de taxi

 

En quoi consiste la formation de chauffeur de taxi?

Dans l’article de la semaine dernière, nous avons vu c’est quoi le métier du chauffeur de taxi et je vous ai invité aussi à consulter l’article comment devenir chauffeur de taxi. Dans l’article de cette semaine, nous allons voir ensemble en quoi consiste la formation de chauffeur de taxi?

Quelles études et formation suivre?

Il est important de savoir qu’avant d’accéder à la profession de chauffeur de taxi, il faut posséder un permis de conduire de classe 4C ou supérieure et obtenir un permis de chauffeur de taxi.

 Pour posséder un véhicule de taxi, il faut obtenir un permis de taxi.
Au moment où j’écris cet article, tous les nouveaux chauffeurs de taxi devront suivre une formation minimale. Cette formation est obligatoire pour exercer le métier de chauffeur de taxi à Montréal, Québec, Laval et Longueuil.

 Quant aux chauffeurs actuels, ils doivent suivre une formation de sept heures sur le transport des personnes ayant des limitations ou qui sont à mobilité réduite (handicapé).
Il existe des cours de perfectionnement pour pouvoir desservir certaines clientèles et pour améliorer ses prestations en service à la clientèle.

Formation de chauffeur de taxi

Le Bureau du taxi et du remorquage de la ville de Montréal établie les modalités relatives à la formation des chauffeurs de taxi qui souhaitent exercer leur métier sur l’Île de Montréal, dont le règlement municipal de la ville de Montréal concernant le transport par taxi.
Quant aux nouveaux chauffeurs qui souhaitent  travailler aux villes de Québec, Laval et Longueuil doivent suivre une formation de base d’une durée de 60 heures dont 7 heures sont consacrées au transport des personnes mobilité réduite. À ce cours de 60 heures s’ajoute,  pour les chauffeurs de la ville de Québec, un cours de 50 heures sur la toponymie.

 La formation de chauffeur de taxi pour le territoires de l’île de Montréal

L’aspirant chauffeur de taxi qui désire travailler sur le territoire de la communauté urbaine de Montréal doit suivre une formation d’une durée totale de 150 heures.  Cette formation est composée de deux parties :

 Partie 1- toponymie: C’est un cours d’une durée de  90 heures. Il concerne la connaissance de  l’île de Montréal. Il porte principalement sur l’apprentissage des cartes routières et guide des rues de Montréal, sur la localisation des quartiers, rues, places, édifices publics, lieux commerciaux, services de santé, ainsi que les centres touristiques, récréatifs, religieux, sportifs et spéciaux.

Le cours de toponymie prépare également à l’identification des trajets, en déterminant des parcours réguliers et alternatifs.

Dans ce cours aussi, vous allez étudier en détail Le règlement sur le transport par taxi du Bureau du taxi et du remorquage de Montréal (RCG 08-022) sur le quel je vous reviendrai en détail dans un prochain article.

 Partie 2- formation de base :   Elle d’une durée de 60 heures. C’est le cours commun aux chauffeurs de Montréal, de Laval et de Longueuil.

 
Le cours prépare à l’identification des trajets, en déterminant des parcours réguliers et alternatifs. Le règlement sur le transport par taxi-RCG 08-022 du Bureau du taxi et du remorquage de Montréal est aussi étudié.
La formation de base porte sur les tâches et attitudes professionnelles du chauffeur de taxi, documente sur la planification et l’organisation du travail et du véhicule, renseigne sur le service client, et inclut le transport par taxi des personnes ayant des limitations. Cette formation porte aussi sur les dispositions de la Loi concernant les services de transport par taxi, sur le Règlement sur les services de transport par taxi.

Vous étudierez aussi dans ce cours d’autres connaissances usuelles se rapportant aux opérations quotidiennes ou périodiques de gestion requises pour exercer le métier de chauffeur de taxi.

 Sanction de la formation par un certificat

Sur réussite de cette formation, le chauffeur reçoit une attestation de formation qu’il devra garder, et présenter à chaque inspection et aussi pour passer son examen au Bureau du Taxi.

Au terme de la réussite des examens à l’École du Taxi, le futur chauffeur de taxi sera inscrit à l’examen du Bureau du taxi et de remorquage de la Ville de Montréal.

 Transport par taxi des personnes ayant des limitations

L’attitude d’un chauffeur de taxi envers une personne qui rencontre des limitations dans ses déplacements peut faire toute la différence. En effet, la méconnaissance des besoins réels de la personne et le manque de communication du chauffeur pourront lui faire croire qu’il aide la personne alors qu’en réalité il amplifie les obstacles qu’elle rencontre.

CONTEXTE :

Dans le cadre de la réforme de l’industrie du taxi, et afin d’améliorer la qualité des services et d’accroître la sécurité des usagers, une formation de 7 heures est désormais obligatoire depuis le 31 décembre 2011.

 C’est quoi le but de la formation?

Fournir au chauffeur de taxi les outils lui permettant d’agir adéquatement en différentes circonstances de même que développer et maintenir des attitudes assurant un service qui répond mieux aux besoins réels des clients ayant des limitations.

 Tout chauffeur de taxi d’expérience a certainement déjà offert un service à une personne qui avait des limitations. Avec l’aide du formateur, les expériences variées des participants s’intègrent dans l’action de la journée de formation. Ce qui amènera le chauffeur, avec ou sans expérience, à percevoir, comprendre, organiser et modifier, si nécessaire, certains comportements ou attitudes dans ses activités professionnelles.

À qui s’adresse la formation?

Tous les chauffeurs de taxi au Québec, exception :

  1. les chauffeurs qui ont suivi une formation de base depuis 2004 pour les villes de Laval, Longueuil, ou Québec;
  2. les chauffeurs qui ont déjà suivi ce cours;
  3. les chauffeurs qui exercent leur métier sur l’île de Montréal; ils sont régis par le Bureau du taxi et du remorquage de la Ville de Montréal (BTRVM), qui les avisera en temps et lieu de ses exigences.

Comment s’inscrire à la formation?

La formation des chauffeurs de taxi sur le transport par taxi des personnes ayant des limitations est donnée par l’un des trois centres de formation désignés par le ministère des Transports du Québec.
Ces cours sont offerts dans plusieurs municipalités du Québec. Pour vous inscrire, vous devez communiquer avec l’un de ces centres suivants, selon votre lieu de résidence.

Le métier du chauffeur de taxi

Le métier du chauffeur de taxi démystifié:

 taxi montreal

Afin de vous faire découvrir en détail le métier de chauffeur de taxi
 et en quoi consiste son travail, c’est quoi ses outils et comment fait-t-il son travail au quotidien? Cet article vous apprendra tous ses aspects.

 

Notions générales sur le taxi

 

Pour commencer, c’est important de savoir c’est quoi un taxi?

 

C’est un véhicule destiné à transporter une personne ou un colis d’un point à un autre par un trajet le plus direct, moyennant un montant d’argent qui correspond au prix de la course encourue.

 

L’activité diffère des transports en commun par le fait que l’opération se fait de porte à porte, c’est-à-dire que le taxi laisse son client à une destination précise, une adresse exacte.

 

Il est important de savoir que le prix de la course d’un taxi varie selon la distance parcourue et s’il y a lieu, le temps d’attente. Grace au taximètre, il ne peut y avoir d’arnaque puisque ces appareils sont régulièrement contrôlés par un organisme agréé par la CTQ qui délivre un certificat de vérification du taximètre et ce dernier doit être toujours scellé.

Le véhicule taxi doit être toujours en très bonne condition et propre afin que la sécurité des passagers soit assurée et le chauffeur confiant car son outil de travail – la voiture – est dans un état impeccable.

 

Les cinq qualités indispensables pour être un bon chauffeur de taxi ?

 

Les qualités indispensables pour se lancer dans le métier de chauffeur de taxi sont :

–          Un courage à toute épreuve,

–          une santé de fer pour être d’une grande forme physique car rester assis derrière son volant pendant de longues heures n’est pas toujours une partie de plaisir,

–          être sociable et aimer travailler avec le public afin d’offrir un excellent service, fidéliser les clients et recevoir de généreux pourboires, particulièrement de la part des touristes.

–          Connaitre sa villes et son histoire car vous servirez en quelques sortes aux touristes d’un véritable guide,

–          et enfin, aimer conduire et être d’une vigilance sans faille sur la route.

 

 

Si vous préférez travailler 35 heures par semaine, ou cherchez à gagner convenablement votre vie en travaillant 8 heures par jour, en profitant des fins de semaines et vacances, ni pensez-y même pas, car ce métier n’est pas pour vous.

Car de jour comme de nuit, de fin de semaine et jours fériés le chauffeur de taxi, travaille aussi longtemps qu’il y a des clients à transporter, des courses à faire et de colis à livrer.

 

Les conditions de travail sont parfois difficiles, je peux vous citer le stress de la conduite, contrainte d’être assis dans son véhicule pendant de longues heures, travailler à différentes conditions métrologiques, tempêtes de neiges, été comme hiver et manger toujours à des heures variables quand cela lui est possible.

 

Un chauffeur de taxi travaille entre 12 heures et 18 heures par jour, voire plus. Il travaille 6 à 7 jours par semaine. Le chauffeur de taxi ne se contente pas seulement d’attendre les clients et de les conduire d’un point de départ à une destination quelconque. S’il veut travailler de façon rentable, il a tout intérêt à établir une stratégie et une façon d’organiser ses journées. Il doit savoir se trouver aux bons endroits (gares, aéroports, boîtes de nuit, clubs, discothèque…) et au bon moment, autrement dit, il doit être au courant et à l’affût des nouvelles politiques, sportives et culturelles et aussi des événements qui se tiennent en ville!

Même le propriétaire d’un taxi n’aura une bonne condition de travail que lorsqu’il aura remboursé son hypothèque et ses crédits d’achat de permis de taxi (200000$ en 2012), et de la voiture.

En contrepartie, le métier a ses avantages et ses points positifs. Le chauffeur de taxi a l’avantage de pouvoir organiser son temps de travail, être le seul maître à bord. Il est en quelque sorte son propre patron, son propre  »BOSS ».

 

Son instrument de travail est sa voiture équipée des outils de la profession tel un taximètre – aussi appelé compteur horokilométrique – est en effet installé dans le véhicule et calcule automatiquement le prix de la course, l’indicateur de tarif, système de communication radio, système d’information sur le trafic, terminal de paiement par cartes de crédits et débits, outils de téléphonie mobile, etc.

Deux statuts différents cohabitent dans la profession : les propriétaires conduisent leur propre véhicule et les chauffeurs locataires le louent à des prioritaires de véhicules taxi ou de propriétaires de flottes de taxis.

 

Propriétaire ou locataire, le « taxi » doit obtenir un « Un permis de chauffeur de taxi «Pocket ». Il ne peut exercer que dans la zone pour laquelle il a obtenu un permis pour.

 

Comment évolue le chauffeur de taxi?

 

Un peu comme un locataire de son appartement qui change de statut pour devenir propriétaire de sa maison, le chauffeur de taxi peut commencer comme chauffeur-locataire et espérer devenir prioritaire de son taxi et si tout va bien devenir propriétaire de sa compagnie de taxi ou de sa flotte. Au Québec, une compagnie ne peut avoir plus que 20 permis de taxi. Mais bon! Il y a toujours un moyen de détourner cette Loi, comme dans toute chose!

 

Le statut de chauffeur-locataire est bien souvent un passage intermédiaire avant de pouvoir exercer en tant que chauffeur-propriétaire, dans l’attente d’avoir l’expérience requise et la possibilité financière d’acquérir son permis de propriétaire de son permis de taxi.

 

Les chauffeurs de taxi peuvent orienter leur activité vers des transports spécialisés : scolaires, transport adapté aux personnes à mobilité réduite, livraison de médicaments etc.

Le transport par taxi est privé, c’est-à-dire le client loue le taxi et il est maître à bord. Par contre, on trouve aussi des taxis qui font transport public ou autrement dit taxi collectif, dans lequel plusieurs clients peuvent s’y trouver qu’on retrouve habituellement à certain terminus de train, de métro et d’autobus. Ils ont des contrats, en général, avec les compagnies de transport comme la STM, la RTL ou l’ATM.

 

Quel salaire gagne un chauffeur de taxi?

 

Le salaire d’un chauffeur de taxi se fait en moyenne à l’année car les journées et les semaines ne se ressemblent pas toutes, il y a des bonnes, des moins bonnes et des mauvaises. Selon ma propre expérience personnelle, ma meilleure journée était de 350$ et ma pire journée était de 17$. Il est très difficile de donner des chiffres relatifs aux salaires d’un chauffeur de taxi. De nombreux paramètres entrent en ligne de compte : statut, ville, nuit/jour, pourboires. En tant que chauffeur locataire d’un « taxi » peut envisager, en ville, un salaire NET moyen autour de 1 600/1 800 $ par mois. En tant que propriétaire, certains avancent des revenus NET possibles de l’ordre de 3000/3400 $ mensuels.

 

Vous voulez quand-même exercer le métier du chauffeur de taxi ?
Maintenant, si vous voulez quand-même faire le métier de chauffeur de taxi à l’issue de ce que vous venez de lire, alors, je vous invite à lire mon article comment-devenir-chauffeur-de-taxi/

Ceci dit, alors bonne chance à tous les futurs chauffeurs de taxis !

La course en Taxi

 

LES GENS SE RAPPELLERONT TOUJOURS COMMENT VOUS LES AVEZ FAIT SE SENTIR.

 

Voilà vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie.
Lorsque je suis arrivé à 2:30 a.m. l’immeuble était sombre excepté une simple lumière dans une fenêtre du rez-de chaussée. Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs auraient seulement klaxonné une ou deux fois, attendu une minute et seraient repartis.

Mais, j’avais vu trop vu de gens démunis qui dépendaient des taxis comme leur seul moyen de transport. À moins qu’une situation sente le danger, je suis toujours allé à la porte. Cette passagère pourrait être quelqu’un qui a besoin de mon aide, ce que j’ai pensé en moi-même. Alors, j’ai marché jusqu’à la porte et j’ai cogné.

‘Juste une minute’, a répondu une voix fragile d’un certain âge.

Je pouvais entendre quelque chose qui était traîné lentement sur le plancher. Après une longue pause, la porte s’est ouverte. Une petite femme dans les 80 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau sans bord avec un voile épinglé dessus, comme quelqu’un sorti d’un film de 1940. À ses côtés, il y avait une petite valise de nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tous les meubles étaient recouverts de draps. Il n’y avait pas d’horloges sur les murs, pas d’objets de décoration ou d’ustensiles sur les comptoirs. Dans le coin il y avait une boîte de carton remplie de photos et de verres.

‘Voudriez-vous porter mes bagages à l’auto?’ elle a demandé.

J’ai apporté la valise jusqu’au taxi, puis je suis retourné vers la femme. Elle a pris mon bras et nous avons marché lentement vers le trottoir. Elle continuait de me remercier pour ma gentillesse.

‘C’est rien’, je lui ai dit. ‘J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon que je voudrais que ma mère soit traitée’.

‘Oh, vous êtes le genre de bon garçon’, elle a dit.

Quand nous sommes montés dans le taxi, elle m’a donné une adresse, puis a demandé, ‘Pourriez-vous me conduire en ville?’

‘Ce n’est pas le chemin le plus court, ‘J’ai répondu vitement.

‘Oh, ça ne me dérange pas, ‘elle a dit. ‘Je ne suis pas pressée. Je suis en route pour un hospice’.

J’ai regardé dans le rétroviseur arrière. Ses yeux scintillaient. ‘Il ne me reste pas de famille, ‘elle a continué. ‘Le docteur dit que je n’en ai pas pour longtemps.

‘J’ai tranquillement éteint le compteur et je l’ai écoutée.

‘Quelle route voudriez-vous que je prenne?’ J’ai demandé.

Pendant les deux heures suivantes, Nous sommes allés dans la ville. Elle m’a montré les édifices où elle avait travaillé auparavant comme opératrice d’élévateur. Nous sommes allés dans le quartier où elle et son mari avaient vécus quand ils étaient nouvellement mariés. Elle m’a fait arrêté en avant d’un entrepôt de meubles qui avait été une salle de danse où elle avait été danser quand elle était fille. Quelquefois elle me demandait de ralentir en avant d’un immeuble particulier ou d’un coin et s’assoyait en fixant la noirceur, ne disant rien.

Comme la première lueur du soleil se repliait à l’horizon, elle a soudainement dit, ‘Je suis fatiguée. Allons-y maintenant.

‘Nous sommes allés en silence jusqu’à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un édifice bas, comme un petit foyer de convalescence, avec un stationnement qui passait sous un portique. Deux infirmiers sont sortis jusqu’au taxi aussitôt que nous sommes arrêtés. Ils étaient soucieux et prévoyants, surveillant chacun de ses mouvements. Ils devaient l’attendre.

J’ai ouvert la malle de la voiture et pris la petite valise jusqu’à la porte. La femme a été dès ce moment assise dans une chaise roulante.

Combien je vous dois?’ elle a demandé, cherchant dans sa bourse.

‘Rien, ‘ j’ai dit.

‘Vous devez gagner votre vie,’ elle a répondu.

‘Il y a d’autres passagers,’ j’ai répondu.

Presque sans penser, je me suis penché et l’ai serré dans mes bras. Elle s’est tenue sur moi étroitement.

‘Vous avez donné à une vieille femme un petit moment de joie,’ elle a dit.
‘Merci.’

Je lui ai serré la main, puis j’ai marché dans la faible lumière du matin. Derrière moi, une porte s’est refermée. C’était le son de la fermeture d’une vie.

Je n’ai pas pris d’autres passagers sur ce quart de travail.

J’ai conduit sans but, perdu en pensées.

Pour le reste de la journée, je pouvais difficilement parler.

Et si cette femme avait pris un chauffeur fâché, ou quelqu’un qui était impatient de finir son quart de travail?

Et si j’avais refusé de prendre cette course, ou j’avais klaxonné une fois, puis reparti? D’une révision rapide, je ne pense pas que j’ai fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies circulent autour des grands moments. Mais les grands moments souvent nous saisissent sans que nous soyons au courant, magnifiquement emballés de ce que les autres peuvent penser petit.

LES GENS PEUVENT NE PAS SE RAPPELER EXACTEMENT CE QUE VOUS AVEZ FAIT, OU CE QUE VOUS AVEZ DIT, ~MAIS ~ ILS SE RAPPELLERONT TOUJOURS COMMENT VOUS LES AVEZ FAIT SE SENTIR.

 

La vie peut ne pas être la fête que nous espérons, mais pendant que nous y sommes prenons le temps de bien danser.

Tous les matins quand j’ouvre les yeux, je me dis que c’est spécial.

Tous les jours, toutes les minutes, chaque respiration vraiment est un cadeau de Dieu.

PS:

Vous n’aurez pas de grosses surprises si vous avez aimé cet article. Mais, vous pourriez aider à rendre le monde un peu plus gentil et plus compatissant en le partageant autour de vous .
Merci, …..

Fermeture de voies sur l’avenue De Lorimier et le boulevard de Maisonneuve du 30 novembre au 20 décembre 2012

Le service d’eau et d’aqueduc de la ville de Montréal, suite à une inspection routinière de ses installations a révélé une dégradation avancé du béton, des armatures, de la dalle et des poutres de soutien de la chambre des vannes du réseau d’aqueduc principal, qui se trouve juste en dessous du Pont Jacques Cartier à l’intersection du Boulevard de Maisonneuve et de l’avenue de De Lormier.

A noter que l’achalandage sur ces deux artères est très important, particulièrement, aux heures de pointes.

I’impact sur la circulation, en général et sur les chauffeurs de taxi en particulier, de la fermeture de voies de la sortie sud du Pont Jacques Cartier vers le centre ville de Montréal, empruntant l’avenue De Lorimier sud et du boulevard de Maisonneuve Ouest aux abords du Pont Jacques Cartier se résume comme suit:

– Les voies sont réduites sur l’avenue De Lorimier vers le sud à la sortie du pont Jacques Cartiers et sur le boulevard de Maisonneuve en direction Ouest;

-L’avenue De Lorimier est fermée en direction nord à partir de Ste-Catherine, détour par la rue Parthenais qui sera à double sens de circulation pendant cette période de travaux entre Ste-Cattherine et Logan;

Donc, quand un automobiliste ou un taxiqui  arrive sur Notre-Dame direction Est ou de l’Autoroute A720 direction Est, en tournant à gauche sur De Lorimier Nord, ne peut continuer, malheureusement, au dela de la rue Ste-Catherine et doit tourner à droite sur Ste-catherine direction Est, ensuite à gauche sur la rue Parthenais et encore à gauche sur Logan pour aller tourner, enfin, sur Boulevard De Lorimier Nord.

– Fermeture de deux voies sur boulevard de Maisonneuve direction Ouest.

Pour plus d’infos, voir site internet de la ville de Montréal à la sections chantiers.

A noter aussi qu’à l’intérieur de cette période de travaux  majeurs aux abords de la sortie sud montréalaise du pont Jacques-cartier par les services d’eau de la ville de Motréal, il y aurait aussi fermeture complète du Pont Jacques-Cartier de 1:00 du matin à 5:00 du matin les nuits:

– De dimanche 2 décembre 2012 à lundi 3 décembre 2012;

– De mardi 4 décembre 2012 à mercredi 5 décembre 2012;

– Et de vendredi 7 décembre 2012 au samedi 8 décembre 2012;

Tel que’annoncer sur le site du Pont-Jacques-Cartier.

Alors, chauffeurs de taxi, soyez patients et demeurez courtois comme d’habitude,  tout en pensant:« Partageons la routes et soyant tolérants».