Indemnisation de l’industrie du taxi: quelle aberrance!

Le ministre des finances sortant Carlos Leitao annonçait, il y a de ça quelques semaines, sur les ondes de TVA 

nouvelles, qu’il rendra publiques les modalités de l’indemnisation de l’industrie du taxi, suite au laxisme de son gouvernement face à Uber au Québec.

250 millions de dollars annoncés. Combien ont reçu de cette somme les chauffeurs (employés) de taxi (non les propriétaires de taxi (les patrons)) qui ont suivi tant de formations, qui ont renouvelé leur «poket» (permis de chauffeur) tant de fois à des coups de milliers de dollars?

 

Combien ont-ils reçu ces pauvres chauffeurs qui rentraient chez eux avec un montant de 17$ dans les poches, après un long quart de travail de 12 heures, après avoir payé leur patron la location du taxi, après lui avoir lavé la voiture, fait le plein d’essence et de u lave-glace?

Aujourd’hui, c’est à ces petits chauffeurs que je pense. C’est eux les victimes de toute cette manigance.

Les propriétaires ont toujours reçu le prix de la location mai eux les chauffeurs: RIEN!

Les vraies victimes n’ont pas été indemnisés contrairement à ceux qui les exploitent.

Les propriétaires ne sont pas les grands perdants et moins TEO TAXI  d’Alexandre Taifer qui aura la part du lion maintenant qu’il est directeur de compagne de Philippe Couillard et du Parti libéral du Québec.

Le nombre de chauffeurs , rien qu’à Montréal, s’élève à 11000, tandis que le nombre de propriétaire est de 4500.

L’industrie du taxi s’est fait avec les chauffeurs et la révolution d’octobre se fera avec eux lors des élections provinciales québécoises  du premier octobre 2018.

Rappelez-vous que le ministre des transports sortant, André Fortin n’a parlé d’indemniser que les propriétaires de permis de taxi, à qui via Revenu-Québec fera parvenir des lettres pour les informer des montants.

En aucun cas, le ministre n’a pensé à l’indemnisation des chauffeurs.

En conclusion, cette indemnisation a pour but d’acheter les voix des propriétaires de taxi lors des élections du 1er octobre 2018. Un geste désespéré de la part de ce gouvernement.

La justice des chauffeurs sera faite aux urnes quand le vote des 11000 chauffeurs rien qu’à Montréal fera la différence.

 

 

Denis Codère travaille à améliorer la sécurité des chauffeurs de taxi

denis codereLe nouveau maire de Montréal, Denis Codère, travaille fort pour améliorer la sécurité des chauffeurs de taxi de Montréal.

Le nouveau maire de la métropole a toujours voulu une ville intelligente et je crois qu’il est entrain de rendre Montréal intelligente pour vrai.

  • Il n’ a pas emprunté mille chemins pour finir avec la prostitution dans les salons de massage de Montréal, en réglementant cette industrie;

 

  • Il ne s’est pas gêné, non plus de transporter le problème de l’itinérance à Montréal au gouvernement du Québec pour qu’il agisse sur un tel sérieux phénomène, au lieu de fuir en avant, avec de faux problèmes, sans aucune valeur ajoutée pour la communauté;

 

  • E aujourd’hui, le maire de la métropole, Denis Codère, a franchi un pas de géant en mandatant la commission des transports de la ville de Montréal la CTVM de tenir des consultations publiques sur les meilleures façons pour améliorer la sécurité des chauffeurs de taxi à Montréal.

 

Deux mois, seulement, après l’assassinat du chauffeur de taxi Ziad Bouzid, survenu en novembre dernier dont la police tarde à rendre public les mobiles de ce crime odieux.

 

D’ici juin 2014, la commission de transport de la ville de Montréal CTVM devrait arriver avec ses propositions et recommandations pour assurer une meilleure protection aux chauffeurs de taxi.

Le meilleur point que le maire Codère a soulevé est celui d’apporte un changement au règlement qui régis le service de taxi à Montréal, afin de rendre obligatoire les recommandation de la commission. Voila une façon intelligente de faire pour que l’ensemble des chauffeurs et propriétaires de taxis adhèrent, sans faute, aux nouvelles exigences en matière de sécurité.

Ceci fera toute une différence dans le quotidien des chauffeurs de taxi montréalais.

La sécurité de tous les chauffeurs n’a pas de prix. Ni l’argent, ni les études théoriques et statistiques ne doivent influencer les décisions de la commission quant à ses choix et recommandations.

D’ailleurs, aller sur le terrain, rencontrer et poser directement la question aux chauffeurs en action sur leur meilleur truc pour améliorer leur sécurité. Je suis convaincu que tous, sans exceptions, opteront pour une vitre blindée.

 

 

 

La conduite hivernale

 

Pour vous les chauffeurs de taxi, il est important que vous soyez prêt pour la grande saison hivernale qui a commencé tôt cette année et qui s’annonce rude.

 

 

Il important de bien chaussé les voitures taxi de pneus d’hiver de qualité. Même si la loi ne nous oblige pas à le faire avant e 15 décembre, mais pour votre sécurité et celle des autres, vous les héros de la route, de jour et de nuit,

  • chaussez vos véhicules de pneus de qualité,
  • inspecté vos véhicule
  • et soyez prêt à servir comme vous l’avez toujours fait avec fierté.

 

Adaptez votre conduite aux conditions hivernales car les routes sont vraiment glissantes. Ces derniers jours, comme vous l’avez constaté.

 

Voilà un cocktail dangereux et qui nécessite une prudence accrue :

 

  • Les quantités de neige importante que nous avons reçues, ces derniers jours,
  • Des températures extrêmes et glaciales;
  • Les pluies verglaçantes
  • Et la glace noire.

 

 

Soyez alertes, patients et rappelez-vous qu’on se partage la route avec les autres usagers de la route.

 

Avec les opérations de déneigement qui font que beaucoup de machinerie lourdes, grand et longs camion qui encombrent déjà les routes serrées, vous n’avez qu’a doublez de vigilance.

 

Espace-taxi vous souhaite une bonne saison fructueuse et sécuritaire, à tous les chauffeurs.

 

Bonne route et Bonne année 2014.

Élections municipales du 3 novembre 2013 : Silence et indifférence des candidats au regard de l’industrie du taxi à Montréal

courrez Aucun candidat aux élections municipales du 3 novembre 2013, à l’exception de l’équipe Marcel Côté, n’a osé aborder et parler de ses positions en  ce qui a trait à l’industrie du taxi à Montréal.

 

Les sites des candidats n’en parlent pas et n’offre aucune possibilité de leurs faire part de nos préoccupations, à moins que vous ne soyez censurer ou ignorer.

 

Il est important de le rappeler que depuis quelques années déjà que cette industrie reçoit coup sur coup avec l’avenue des transports alternatifs qui poussent comme des champignons à Montréal et crée un déséquilibre, toujours au détriment du taxi.

 

L’industrie du taxi de la grande région métropolitaine subit ses concurrents directs, soit, l’autobus 747 de la STM vers l’aéroport international de Montréal à Dorval, Comuneauto, Bixi et tout récemment, Car2Go.

 

L’équipe de Marcel Coté a pris position en tenant le Taxi un partenaire pour le transport en commun, à part entière  et chaque candidat clé a exprimé sa vision de l’industrie et des intervenants. Voici ce qui a été dit par chaque candidat :

 

Marcel Côté, chef de Coalition Montréal et candidat à la mairie :

 

  • «Depuis quelques années, les modes de transport alternatifs se multiplient à Montréal et la Ville accordera la même considération à l’industrie du taxi. Je crois qu’il est plus que temps que cette industrie devienne, elle aussi, un partenaire à part entière du transport collectif montréalais. Pour ce faire, j’entends lui témoigner le respect qui lui revient comme partenaire de la Ville. Ce respect doit se manifester chez les élus, chez les fonctionnaires et chez les policiers. Il doit aussi s’illustrer par une amélioration de la collaboration entre le Bureau du taxi et la Société de transport de Montréal ainsi que par une multiplication de l’offre de services de taxi collectif et l’implantation du taxi-partage. »

 

 

  • « Hier, le premier service de taxi-partage a été déployé. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les Montréalais, qui pourront ainsi réduire simultanément le coût de leur course et leurs émissions de gaz à effet de serre. Nous soutiendrons cette initiative. Mais à Coalition Montréal, nous souhaitons aller encore plus loin en misant sur les taxis collectifs. Certaines lignes d’autobus de la STM sont déficitaires. Nous souhaitons y implanter des trajets de taxi collectifs de manière à offrir un service performant, mais moins coûteux, aux Montréalais. Cette solution est d’autant plus pertinente que la Société anticipe un déficit d’exploitation de 15 millions de dollars en 2013 et de 60 millions en 2014. Des sommes qui devront être déboursées par la Ville de Montréal »

 

 

  • « Au cours des prochaines années, les travaux de réfection de nos infrastructures multiplieront les chantiers à travers Montréal et, par le fait même, la congestion. Les Montréalais doivent opérer un changement vers les modes de transport collectifs. Mon équipe et moi sommes persuadés que l’industrie du taxi a un rôle à jouer pour compléter l’offre de transport de la métropole »

 

Louise Harel, codirectrice de Coalition Montréal et candidate au poste de conseillère :

  • « Au cours de mon précédent mandat, j’ai travaillé activement pour redonner aux propriétaires et aux chauffeurs de taxi le rôle qui leur revient dans la gestion, la performance et le développement d’une industrie essentielle à toute grande métropole dans le cadre du nouveau Bureau de taxi. »

 

 

  • « Je souhaite maintenant m’assurer que ce mode de transport est mieux intégré dans la planification des déplacements sur l’île. Mais pour qu’une telle planification d’ensemble soit possible, des liens durables doivent être établis entre l’industrie du taxi et la Société de transport de Montréal (STM). Nous nous engageons donc à ce qu’un représentant de l’industrie siège au conseil d’administration de la STM, ce qui nécessitera une modification à la Loi sur les sociétés de transport en commun. Je suis persuadée que davantage de collaboration entre la STM et l’industrie du taxi améliorera l’intermodalité à Montréal».

 

Soraya Martinez, candidate à la mairie d’arrondissement :

 

« Les taxis collectifs sont également une manière concrète de mettre à profit l’industrie du taxi pour bonifier l’offre de transport collectif dans les zones où l’achalandage est plus faible, et ce, à faible coût pour les Montréalais. Dans certains secteurs de l’île de Montréal, la planification d’une offre de taxis collectifs s’avérerait une solution avantageuse pour tous »

 

Élias Bitar candidat au poste de conseiller d’arrondissement :

« Les propriétaires et les chauffeurs de taxi peuvent compter sur Marcel Côté afin d’exercer le leadership nécessaire dans ce dossier. Le taxi est un tremplin professionnel important pour de nombreux Montréalais. Toutefois, les conditions dans lesquelles ils exercent leur métier doivent être améliorées afin que leur travail soit reconnu à sa juste valeur. Le taxi contribue beaucoup à l’offre de services touristiques de la métropole, en plus d’offrir un service rapide et de bonne qualité pour les Montréalais »

 

 

Mes vacances à Cuba

Mes vacances à Cuba :

Aujourd’hui, je vais me permettre de revenir sur mes dernières vacances à Cuba dans les caraïbes et de vous raconter un peux sur cet agréable paradis.

Pourquoi j’ai choisi Cuba?

J’ai tellement entendu parler de Cuba par des collèges et clients que je me suis penché sérieusement sur cette destination.

–          Le coté sécuritaire : Je ne crois pas qu’il existe une place plus sécuritaire pour passer des vacances en paix et en toute quiétude. Cuba offrait réellement se sentiment de paix pour un vacancier qui souhaite avoir des vacances calme sans aucun incidents.

–          La qualité du service : le personnel de l’hôtel, que ce soit en chambres, dans les restos, les piscines ou sur la plage c’est tout simplement agréable. Les gens très accueillant, toujours souriant et prêts à vous aider. Et quelle fût ma surprise? Le personnel parle français et tout le monde s’essaye pour en apprendre la langue. On s’entend que tous parlent espagnole et anglais mais se faire servir partout, partout en français, ça c’est toute une surprise pour quelqu’un qui espère perfectionner son espagnole comme moi!!

–          Dans le complexe où j’ai séjourné, il y avait un buffet, trois restaurants à la carte, soit un japonais, un italien et un cubain. Le meilleur reste la pizza faite sur place au bord de la plage, ça c’est un vrai régal. Il y a, évidement le bar à sandwich, qui lui est ouvert 24 heures. Le bar-open où l’alcool est servi à volonté mais bien sur la modération est toujours meilleure.

 

La plage avec son sable blanc, les cocotiers qui la longe et tous les beaux arbres qu’on y trouve, il y a de quoi vivre un Wow! La mer turquoise toujours calme et reposante à couper le souffle…

 

Malgré que j’ai choisi mon voyage à la dernière minute, à cause du mauvais temps qui faisait à Montréal, toujours temps pluvieux et de peur de rater mes vacances, j’ai opté pour cuba en voyage de dernière minute pour prendre le vol le lendemain. Le prix était comme même un peu élevé mais ça valait la peine.

La compagnie aérienne avec qui j’ai voyagé c’est tout simplement formidable, le service, la ponctualité et la prise en charge des clients du début jusqu’à la fin.

 

Moi, je voulais aller à Cayo Coco pour sa tranquillité, il parait, mais il ne restait que Varadero au moment que je réservais. C’est un choix fabuleux pour des vacances inoubliables et une tête pleine de souvenir. Une destination recommandable particulièrement aux familles avec de petits enfants car il y a de tous pour les enfants, une prise ne charge totale du matin au soir, si ce que vous voulez.

 

Bref vives les vacances, vives les caraïbes et viva Cuba!!

J’y retournerai certainement.

 

Le Taxi à Varadero, Cuba :

Wow! Quelle joie de voir toutes cs belles voitures des années 50 qui ont conservé complètement leur beauté original. Je me demande comment il ont fait pour les conserver en état de marche et faire du service par taxi avec? Monter dans une Cadillac de ces années-là, c’est vraiment un plaisir.

Ces vieilles voitures taxi appartiennent aux particuliers. Il existe des nouvelles voitures taxi en voitures nouvelles qui appartiennent au gouvernement Cubain.

Il y a aussi les motos tricycles en taxi-Yellow, ça c’est un modèle que je pensais exister  seulement en chine mais à ma grande surprise, il y en a à  Varadero et en plus neufs. J’ai trouvé ça original.

Évidemment, il y a les calèches et charrettes qui font aussi du service taxi au aux mêmes tarifs que les autres modes de taxi cité ci-dessus.

 

Il est bien important, avant de monter dans un taxi, de négocier le prix à l’avance et d’être sûr que c’est pour un, deux ou autant de personnes pour ne pas en avoir de mauvaises surprise à la fin du voyage.

Les chauffeurs de taxi à Varadero vous sollicitent trop pour monter dans leur taxi, dès que vous êtes en train de marcher. Mais vous n’êtes pas obligé de monter, surtout c’est vous voulez juste faire une marche…

 

… Mes prochaines vacances?….C’est en novembre prochain. La destination?….A vous de devinez.

Taxi: jamais deux sans trois:

Taxi: jamais deux sans trois: 

Encore une autre fois, l’industrie du taxi, particulièrement à Montréal vient de recevoir un coup de fouet, en annonçant le déploiement d’un nouveau service d’autopartage à compter du 2 novembre prochain.

La compagnie américaine des Smart Car2Go mettra en autopartage, pas moins de 250 voitures à Montréal dans les trois arrondissements suivants, pour le moment du moins, soit : Plateau-Mont-Royal, Côte-Des-Neiges-Notre-Dame-De-Grace et Rosemont-Petite-Patrie.

Ce nouvel acteur qui arrive pour faire la concurrence aux taxis qui en arrachent déjà avec les prix de l’essence, les travaux interminables des rues, les Bixis, la navette d’autobus 747 vers l’Aéroport Trudeau et enfin Communauto.

Comment est-il possible encore à l’industrie du taxi de Montréal d’exister? L’avenir nous le dira.

 

Le Ford Transit Connect Taxi 2014 dévoilé

le ford transit connect taxi2014

Dans la plupart des grandes villes américaines, le choix préféré de l’industrie du taxi a toujours été la grosse berline à motorisation V8, comme le Ford Crown Victoria. Toutefois, les temps ont bien changé.

À partir de l’an prochain, une nouvelle génération de taxis apparaîtra, et Ford tentera de s’approprier du marché avec le Transit Connect Taxi 2014. Il rivalisera, entre autres, le Nissan NV200 Taxi.

Ce nouveau Transit Connect Taxi disposera d’un quatre-cylindres de 2,5 L à essence, mais qui pourra également être converti pour fonctionner au gaz naturel compressé (CNG) ou au gaz de pétrole liquéfié (LPG). La possibilité de fonctionner avec un de ces trois types de carburant rend le Transit Connect Taxi unique dans son segment de marché, et aiderait à réduire les frais d’exploitation.

Le Ford Transit Connect Taxi 2014 comprend également un plancher abaissé pour un accès plus facile, et Ford prévoit que leur véhicule dominera son segment au chapitre de l’espace intérieur.

« Le nouveau Transit Connect Taxi a été conçu avec le conducteur d’un service de transport et les passagers en tête, en créant un produit combinant du style et un confort accru à la fiabilité légendaire de Ford, » a cité Gerald Koss, directeur du marketing des flottes chez Ford.

La production du Ford Transit Connect Taxi 2014 s’amorcera au début de l’an prochain. Son prix au Canada n’a pas encore été dévoilé.

 

 

 

 

 

Source : autogo.ca/actualite/nouvelles-automobiles/le-ford-transit-connect-taxi-2014-devoile

L’industrie du taxi est la prochaine cible de Revenu Québec

L’industrie du taxi est la prochaine cible de Revenu Québec
Après l’industrie de la restauration, maintenant c’est au tour des chauffeurs et propriétaires de taxi de rendre des comptes sur les taxes perçues de leurs clients.
Selon le journal La Presse Affaires, Revenu Québec s’attaque à l’évasion fiscale dans l’industrie du taxi et souhaite récupérer 73 millions de dollars par année auprès des propriétaires de permis de taxi et de permis de chauffeur de taxi qui seront dans la ligne de mire du fisc.
Le problème est sérieux: plus du tiers des 22 700 détenteurs de permis, au Québec, ne sont pas inscrits au fichier des taxes et ne retournent pas la TPS et la TVQ qu’ils perçoivent de leurs clients.
«Nous avons fait ce constat. Le problème est assez répandu», confirme le chef des relations publiques à Revenu Québec, Stéphane Dion. Il estime ainsi que 7600 chauffeurs de taxi roulent dans la mauvaise direction fiscale.
Pour amener les chauffeurs fautifs à se conformer, Revenu Québec soutient vouloir emprunter la méthode douce et s’apprête à leur envoyer des lettres de sensibilisation et d’incitation à s’inscrire au fichier des taxes. Une stratégie qui prendra la forme d’une campagne de «conformité fiscale» faisant appel à la collaboration des principaux acteurs de l’industrie.
«Nous voulons néanmoins agir rapidement, précise Stéphane Dion. C’est une somme importante, 73 millions, en pertes fiscales annuellement. Les utilisateurs du taxi et les contribuables sont en droit de s’attendre à ce que les taxes qu’ils paient soient remises au gouvernement. De leur côté, les chauffeurs qui respectent leurs obligations n’ont pas à subir les conséquences de cette concurrence déloyale de la part de ceux qui ne se conforment pas.»
Revenu Québec semble vouloir emprunter, avec le taxi, le même chemin que celui qui a favorisé l’installation de modules d’enregistrement des ventes dans les restaurants, «qui s’est avérée un succès», soumet Stéphane Dion, en faisant allusion aux pertes fiscales annuelles de 420 millions dans la restauration.
Chauffeurs de taxi nerveux
Or, aux postes de taxi, les chauffeurs sont nerveux, particulièrement ceux qui omettent depuis nombre d’années de retourner les taxes qui sont incluses dans le prix d’une course, et qui font augmenter les tarifs affichés au taximètre.
«C’est certain que ça en fatigue plusieurs», constate Laval Bilodeau, président du Regroupement des propriétaires de taxi de Montréal (RPTM). Ce chauffeur âgé de 65 ans, et qui affiche la bannière Coop Taxi, dit avoir entendu des chauffeurs remettre en question leur gagne-pain en raison de cette exigence du fisc de ne pas enfreindre les règles, sous prétexte que leurs revenus sont déjà insuffisants.
Dory Saliba, président de Taxi Hochelaga, ne veut pas jeter le blâme aux chauffeurs qui ne retournent pas les taxes. «Il y a une bonne proportion, à mon avis, qui sont tout simplement mal informés, et qui n’agissent pas de mauvaise foi.»
Mais il ajoute: «Il est important de suivre les règles et nous sommes d’accord avec les actions visant à faire tourner notre industrie dans la bonne direction. Nous avons besoin de gens honnêtes.»
Chez Taxi Diamond, plus importante bannière au Québec avec 1070 taxis qui affichent son losange, Denis Laramée croit que «ce ménage-là sera salutaire».
«Il y a une perception, dans le public, voulant qu’il y ait encore trop de chauffeurs qui travaillent au noir, déplore-t-il. Si cette intervention de l’État peut contribuer à rehausser notre image, c’est tant mieux. Parce qu’il y a beaucoup d’honnêtes commerçants qui gagnent leur vie convenablement.»
Le resserrement fiscal qui touchera le taxi survient au moment ou le nouveau Bureau du taxi de Montréal s’apprête à se réunir pour la première fois afin d’établir les priorités dans cette industrie.
«Il y en a qui affirment qu’il y a trop de permis et que les chauffeurs ne touchent pas assez de revenus pour bien vivre, et que les journées de travail sont trop longues, à raison de 12 heures par jour», rapporte le président du conseil d’administration du Bureau, Réal Ménard, responsable du dossier transport à la Ville de Montréal.
Il n’était pas au courant, lundi, de l’offensive de Revenu Québec auprès des chauffeurs.
En conclusion, le temps est venu de redorer le blason de l’industrie de taxi, de corriger les anomalies, de rendre justice aux honnêtes chauffeurs et d’instaurer un système juste et équitable pour tous.

Source : La Presse des affaires

Lancement de six nouveaux taxis MV-1

taxi-mv1

Lancement de six nouveaux taxis MV-1

Le transport adapté pour personnes à mobilité réduite et handicapés bénéficie dans ce projet pilote de dix semaines de taxi universellement accessible. Depuis le 25 février dernier, six prototypes nouveaux taxis MV-1 sillonnent les rues de Montréal, Laval et Longueuil. A noter, que c’est une première au Québec mais à travers le Canada, Ottawa, Winnipeg et la ville de New-York en possède présentement 250. Ces taxis MV-1 sont disponibles  à la fois pour la clientèle régulière et handicapée.

Grâce une rampe déployable sur les côtés, peut accueillir un fauteuil roulant à l’intérieur du véhicule et jusqu’à quatre passagers.

L’objectif premier de ce projet est d’évaluer la réaction des clients à ce type de véhicule.

Avantages :

–      Spacieux, comparativement aux véhicules de transport adapté actuel. Ainsi le client à mobilité réduite ou lourdement handicapé entre directement avec le fauteuil roulant dans le taxi;

–      Massif

–      Sécuritaire

–      Confortable

Inconvénients:

–      Véhicule, relativement cher, le prix de base aux États-Unis est de $40,000. Avec l’option gaz naturel, on ajoute au prix de base $9,000.

–      La consommation de carburant est très importante avec les prix actuel de l’essence et considérant le moteur V8 et le poids de plus de 5000 livres.

Ils ont dit :

–       Dory Saliba, Président du Comité provincial de concertation et de développement de l’industrie du taxi (CDCDIT) : « Ça fait longtemps qu’on l’attend».

–      Rosanne Couture, Directrice générale de l’Alliance des regroupements des usagers de transport adapté du Québec : «Pour les passagers à mobilité réduite, se déplacer est toujours problématique. C’est un pas très important pour le Québec».

–      Denis cartier, Consultant pour MV-1 Canada : «Un jour, on souhaite qu’il y en ait plein dans les rues et que les personnes à mobilités réduites puissent héler un taxi dans la rue au même titre que la clientèle régulière».

La course en Taxi

 

LES GENS SE RAPPELLERONT TOUJOURS COMMENT VOUS LES AVEZ FAIT SE SENTIR.

 

Voilà vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie.
Lorsque je suis arrivé à 2:30 a.m. l’immeuble était sombre excepté une simple lumière dans une fenêtre du rez-de chaussée. Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs auraient seulement klaxonné une ou deux fois, attendu une minute et seraient repartis.

Mais, j’avais vu trop vu de gens démunis qui dépendaient des taxis comme leur seul moyen de transport. À moins qu’une situation sente le danger, je suis toujours allé à la porte. Cette passagère pourrait être quelqu’un qui a besoin de mon aide, ce que j’ai pensé en moi-même. Alors, j’ai marché jusqu’à la porte et j’ai cogné.

‘Juste une minute’, a répondu une voix fragile d’un certain âge.

Je pouvais entendre quelque chose qui était traîné lentement sur le plancher. Après une longue pause, la porte s’est ouverte. Une petite femme dans les 80 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau sans bord avec un voile épinglé dessus, comme quelqu’un sorti d’un film de 1940. À ses côtés, il y avait une petite valise de nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tous les meubles étaient recouverts de draps. Il n’y avait pas d’horloges sur les murs, pas d’objets de décoration ou d’ustensiles sur les comptoirs. Dans le coin il y avait une boîte de carton remplie de photos et de verres.

‘Voudriez-vous porter mes bagages à l’auto?’ elle a demandé.

J’ai apporté la valise jusqu’au taxi, puis je suis retourné vers la femme. Elle a pris mon bras et nous avons marché lentement vers le trottoir. Elle continuait de me remercier pour ma gentillesse.

‘C’est rien’, je lui ai dit. ‘J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon que je voudrais que ma mère soit traitée’.

‘Oh, vous êtes le genre de bon garçon’, elle a dit.

Quand nous sommes montés dans le taxi, elle m’a donné une adresse, puis a demandé, ‘Pourriez-vous me conduire en ville?’

‘Ce n’est pas le chemin le plus court, ‘J’ai répondu vitement.

‘Oh, ça ne me dérange pas, ‘elle a dit. ‘Je ne suis pas pressée. Je suis en route pour un hospice’.

J’ai regardé dans le rétroviseur arrière. Ses yeux scintillaient. ‘Il ne me reste pas de famille, ‘elle a continué. ‘Le docteur dit que je n’en ai pas pour longtemps.

‘J’ai tranquillement éteint le compteur et je l’ai écoutée.

‘Quelle route voudriez-vous que je prenne?’ J’ai demandé.

Pendant les deux heures suivantes, Nous sommes allés dans la ville. Elle m’a montré les édifices où elle avait travaillé auparavant comme opératrice d’élévateur. Nous sommes allés dans le quartier où elle et son mari avaient vécus quand ils étaient nouvellement mariés. Elle m’a fait arrêté en avant d’un entrepôt de meubles qui avait été une salle de danse où elle avait été danser quand elle était fille. Quelquefois elle me demandait de ralentir en avant d’un immeuble particulier ou d’un coin et s’assoyait en fixant la noirceur, ne disant rien.

Comme la première lueur du soleil se repliait à l’horizon, elle a soudainement dit, ‘Je suis fatiguée. Allons-y maintenant.

‘Nous sommes allés en silence jusqu’à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un édifice bas, comme un petit foyer de convalescence, avec un stationnement qui passait sous un portique. Deux infirmiers sont sortis jusqu’au taxi aussitôt que nous sommes arrêtés. Ils étaient soucieux et prévoyants, surveillant chacun de ses mouvements. Ils devaient l’attendre.

J’ai ouvert la malle de la voiture et pris la petite valise jusqu’à la porte. La femme a été dès ce moment assise dans une chaise roulante.

Combien je vous dois?’ elle a demandé, cherchant dans sa bourse.

‘Rien, ‘ j’ai dit.

‘Vous devez gagner votre vie,’ elle a répondu.

‘Il y a d’autres passagers,’ j’ai répondu.

Presque sans penser, je me suis penché et l’ai serré dans mes bras. Elle s’est tenue sur moi étroitement.

‘Vous avez donné à une vieille femme un petit moment de joie,’ elle a dit.
‘Merci.’

Je lui ai serré la main, puis j’ai marché dans la faible lumière du matin. Derrière moi, une porte s’est refermée. C’était le son de la fermeture d’une vie.

Je n’ai pas pris d’autres passagers sur ce quart de travail.

J’ai conduit sans but, perdu en pensées.

Pour le reste de la journée, je pouvais difficilement parler.

Et si cette femme avait pris un chauffeur fâché, ou quelqu’un qui était impatient de finir son quart de travail?

Et si j’avais refusé de prendre cette course, ou j’avais klaxonné une fois, puis reparti? D’une révision rapide, je ne pense pas que j’ai fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies circulent autour des grands moments. Mais les grands moments souvent nous saisissent sans que nous soyons au courant, magnifiquement emballés de ce que les autres peuvent penser petit.

LES GENS PEUVENT NE PAS SE RAPPELER EXACTEMENT CE QUE VOUS AVEZ FAIT, OU CE QUE VOUS AVEZ DIT, ~MAIS ~ ILS SE RAPPELLERONT TOUJOURS COMMENT VOUS LES AVEZ FAIT SE SENTIR.

 

La vie peut ne pas être la fête que nous espérons, mais pendant que nous y sommes prenons le temps de bien danser.

Tous les matins quand j’ouvre les yeux, je me dis que c’est spécial.

Tous les jours, toutes les minutes, chaque respiration vraiment est un cadeau de Dieu.

PS:

Vous n’aurez pas de grosses surprises si vous avez aimé cet article. Mais, vous pourriez aider à rendre le monde un peu plus gentil et plus compatissant en le partageant autour de vous .
Merci, …..