Pourquoi la Commission des Transport du Québec ne doit pas refuser un permis d’intermédiaire en service à Uber

IMG_20150819_135419Vous connaissez peut-être la fable du petit oisillon, de la vache et du coyote, racontée par Terence Hill dans le film «mon nom est personne».

Permettez-moi de vous la raconter en bref, en guise d’introduction pour l’objet de cet article.

Il s’agit d’un oisillon qui tombait de son nid et criait fort, tellement, il a froid.

Une vache qui passait par là a eu pitié de lui et pour le réchauffer, elle le couvre d’une bonne galette de fumier.

Le petit oisillon bien réchauffé, sort sa tête et recommence à crier plus fort qu’avant.

Un vieux coyote arrive en trois galops, le retire du tas de fumier, essuie la  crotte qui le recouvre et l’avale en une seule bouchée.

Quelle est la morale à cette histoire?

Elle est la morale des temps modernes. Ceux qui te mettent dans la merde, ne te veulent pas nécessairement du mal et ceux qui t’en sortent de cette merde ne veulent pas nécessairement ton bien

Ceci dit, revenons à nos moutons.

Depuis son arrivée au Québec en 2014, Uber exerce dans l’inégalité, bafoue les lois de transport par taxi et les lois fiscales, ne respecte pas les conditions du projet pilote, et continue de dire ne pas faire du taxi mais offre une application mobile.

Tout le monde sait ça : Les aveugles ont vu et les sourds ont entendu.

Et puis?

Bien sûr, Laurent Lessard, ministre des transports est lui-même mal placé pour faire respecter les lois aux autres.

Le projet pilote n’est qu’une fuite en avant du gouvernement vis-à-vis de ses responsabilités.

Les lois sont faites pour les faibles (les taxis), pas pour les forts et les multinationales.

C’est pourquoi, l’opposition du front commun des taxis, représenté par Guy Chevrette et Benoit Jugand, appuyé par le parti québécois, quant à l’émission par la CTQ (Commission des Transport du Québec) d’un permis d’intermédiaire en service de transport par taxi à Uber est peine perdue.

 

Quant au bureau du taxi Montréal, ex-bureau du taxi et du remorquage dont l’utilité est discutable, s’acharne particulièrement sur les chauffeurs de taxi légaux, à savoir s’il sont habillés convenablement et si leurs taxis sont convenablement entretenus.

La tâche que Mme Linda marchand a assuré comme directrice de cette organisme jusqu’à ce qu’elle soit relevée de ses fonctions, s’est fait remplacer par un nouveau directeur intérimaire de la STM M. André Poisson qui entrera en poste ce 24 octobre.

Alors que le transport clandestin bat son plein à Montréal et partout au Québec, le BTM a annoncé qu’il a effectué depuis septembre dernier 184 véhicules sans toutefois confirmer qu’ils sont des chauffeurs d’Uber.

Ce chiffre est négligeable comparativement au nombre de courses qu’Uber a effectué durant la même période.

Dans un sens, Uber a bousculé positivement l’industrie du taxi qui, longtemps a oublié que le client était leur raison d’être. On commence enfin, tant bien que mal, à se ressaisir.

C’est le cas de l’application mobile lancée par taxi Coop et qui tout comme Uber :

  • Permis de commander un taxi,
  • Permis de suivre sa progression jusqu’à l’embarquement;
  • Permis d’obtenir une estimation du prix de la course en entrant le point de départ et la destination;
  • Permis de connaitre la marque du véhicule qui vient les prendre;
  • Permis de voir sur le cellulaire du client la photo du chauffeur
  • Permis de régler la course sans avoir d’argent et de carte sur soi;
  • Et bien plus.

Tout comme Uber finalement.

 

En conclusion

  • Il y a une morale à la fable racontée ci-haut mais qu’il faut que chacun trouve tout seul!
  • Uber a apporté un nouveau souffle à l’industrie du Taxi.
  • Les nouveaux acteurs qui sont financés déjà à plus de 75% par des fonds publics, qui espèrent mettre la main sur la redevance qu’Uber payera et qui qui magouillent que les prix de revente des taxis sont inférieure à 150000$, constituent la vraie menace pour l’industrie du taxi.
  • C’est pourquoi, il sera urgent et même vital qu’Uber obtienne son Permis d’ITS que de toute manière, n’est qu’une question de temps, vu que les dés sont bipés d’avance.

Uber défie Québec et largue ses lois et règlements

espace taxiIl est important de le rappeler au nouveau ministre des transports M. Jacques Daoust que des lois et règlements existent déjà et il lui est demandé, simplement et clairement, de les appliquer.

L’absence d’un état de droit où les lois ne sont pas respectées ouvre les portes à l’anarchie et à la désobéissance.

 

L’argent achète tout le monde!

L’humoriste Martin Matte doit avoir été payé cher pour passer le message d’Uber sur les ondes de radio-canada à l’émission tout le monde en parle de Guy A. Lepage dimanche soir dernier.

Humoristiquement, il a passé le message d’Uber dans lequel il critiquait les taxis montréalais et aduler Uber.

À rappeler que la cote d’écoute de cette émission dépasse 1,2 million.

 

À croire certains chauffeurs d’Uber questionnés, régulièrement, sur leur activité illégale, ses derniers confirment qu’

  • Uber avait hâte à la nomination du nouveau ministre des transports Jacques Daoust avec qui Uber aurait des affinités pour légaliser UberX. Il est, possiblement, derrière le remaniement ministériel du gouvernement Couillard.

 

  • ils font beaucoup d’argent pour le peu d’heures qu’ils travaillent. À en croire un d’eux, pour la seule soirée du 31 décembre au 1er janvier dernier avait fait plus de 800$ net. Pas de taxes ni d’impôts à l’exception du 20% déjà prélevé par Uber.

 

 

  • Ces derniers confirment aussi que les prix exercés par Uber sont variables et soumis à un multiplicateur, selon l’offre et la demande.

 

  • Confirment aussi que la police ne s’intéresse pas à eux et ne les achale pas. Par contre, ils vivent constamment le stress que les inspecteurs du bureau du taxi leur saisissent leurs véhicules.

 

 

  • Il confirme aussi que Uber paie pour les véhicules saisis, les avocats d’Uber défendent en justice les fauteurs jusqu’à concurrence d’un Million de dollars.

 

  • Confirment aussi frauder les compagnies d’assurances.

 

  • Les coupons Cool Taxi, que les jeunes ne peuvent utilisé avec Uber, après une soirée bien rosée

 

 

  • Le transport adapté n’est pas la priorité d’Uber et les personnes à mobilité réduite n’ont pas leurs places.

 

Le transport clandestin : un service de taxi citoyen

 

Tolérer Uber revient à accepter le transport clandestin. Ainsi, Monsieur et Madame tout le monde intéressés, sont invités à faire du transport de personnes.

En faisant du transport clandestin,

 

  • Vous n’avez pas à payer 20%, prélevé préalablement par Uber pour chaque course que vous faites;

 

 

  • Vous n’avez pas à suivre de formation niaiseuse et obligatoire de trois mois pour devenir chauffeur de taxi;

 

  • Vous n’avez pas à payer cette formation au coût direct de 1200$, trois mois sans salaire et les autres frais reliés à la formation.

 

 

  • Vous n’avez pas à payer des frais de location de 360 à 700$ par semaine;

 

 

 

  • Vous n’avez pas à suivre une formation niaiseuse et obligatoire de mise à jour de deux jours pour 50$ en plus de ne pas être payé pendant deux jours pour renouveler votre permis de chauffeur.

 

  • Vous n’avez pas à fournir un certificat de recherche négative au coût de 105$.

 

  • Vous n’avez pas à avoir un permis de classe 4C, votre permis de classe 5 est largement suffisant.

 

  • Et vous n’avez pas à remettre votre permis de chauffeur de taxi précédent pour le Bureau du Taxi.

 

Autrement dit avec du transport clandestin, les Québécoises et les Québécois auront droit à un transport sécuritaire puisqu’ils seront transportés tout comme on transporte son conjoint ou ses enfants, à un prix très abordable puisqu’il sera négocié au préalable et vous aurez droit à un service amical.

 

Nous sommes rendus là! C’est ça la justice?

Des chauffeurs de taxi font la police pour identifier, piéger, attraper et dénoncer aux policiers les chauffeurs d’Uber alors que ses derniers (SPVM) surveillent les chauffeurs de taxi et les menacent de se retrouver avec un casier judiciaire s’ils osent poser des gestes pour dénoncer leurs ras-le-bol et d’attirer l’attention des bornés et sourdes oreilles des responsables de transport.

Pendant ce temps-là,

  • Uber défie l’autorité et les lois. De ses chauffeurs, personne ne se retrouve avec un casier judiciaire ni se sente menacé.

 

  • Le Ministre des transports Jacques Daoust demande et supplie Uber de cesser ces activités au lieu tout bêtement d’appliquer les lois.

 

  • Le gouvernement fuit en avant, en mettant encore et encore des commissions publiques, des commissions parlementaires et des commissions inutiles et couteuses. A quoi sert la commission des transport du Québec (CTQ)qui coute les yeux de la tête au contribuables?

 

Espérant que le maire de Montréal Denis Coderre restrera ferme face à ce ministre désigné pour régulariser UberX et exigera fermement l’application des lois et règlement du Bureau du taxi Montréal face au transport illégal.

 

Uber a enflammé Paris, allait-il enflammé Montréal?

C’est quoi le problème des chauffeurs de taxi à Montréal?

IMG_20150819_132122Ouvrir la portière de son véhicule taxi à une femme, un vieux… à sa cliente ou client, est-ce trop demandé pour un chauffeur de taxi?

D’un côté, les chauffeurs se plaignent de la baisse significative de leurs revenus, due à la concurrence illégale des chauffeurs clandestins, employés par Uber, et de l’autre côté ils font de l’immobilisme, en espérant que la situation changera en leur faveur.

 

Comme disait Albert Einstein :« les mêmes effets produisent les mêmes résultats – faire toujours la même chose et espérer à des résultats différents» C’est insensé, n’est-ce pas?

 

Uber, s’il voulait se conformer aux lois (Loi de l’impôt et fiscale comprises) et règlements de transport par taxi en devenant un intermédiaire en service (d’ailleurs, c’est ce qu’il fait!),

  • il signera la fin définitive de tous les autres intermédiaires (Taxi Hochellaga , Diamond et les 15 autres ITS),
  • verra les 4500 véhicules de taxis et
  • les 11625 chauffeurs certifiés que compte Montréal arborer ses couleur.

Mais la vision d’Uber dépasse de loin ce cadre archaïque et restreint.

Pourquoi se limiter à 4500 véhicule quand on a la possibilité de faire travailler tous les véhicules de l’ile et de ceux de l’extérieur de l’ile… la liberté illimitée!!

 

Est-ce que le gouvernement et les autorités locales ont perdu le contrôle de la situation?

Le contrôle soit on la «OUI», soit on ne l’a pas «NON». Pas de … Oui, mais… N’est-ce pas Mme «Ouimais»?

A partir du moment où les lois et règlements qui encadrent l’industrie du taxi, les lois fiscales et autres sont bafoués par Uber et ce depuis 2014, il est temps de se dire les vraies choses, non?

La preuve même le ministre des transports Robert Poeti a fini par reconnaitre qu’UberX est un service illégal… Mieux vaut tard que jamais!

 

Trouvez-vous normal qu’un chauffeur de taxi pour renouveler son permis doit payer :

  • 105 $ pour la vérification des antécédents judiciaires;
  • 110$ pour renouveler son permis de chauffeur de taxi pour qui il a payé 1500$ et trois mois de formation
  • 25 $ pour deux jours (sans salaire) de formation continue est obligatoire?

Pendant ce temps-là, les chauffeurs d’Uber enrichissent leur employeur en automatique et se font du « cash» libre d’impôts.

Ministre des transport

Des inspecteurs pour contrer le transport illégal à Montréal

IMG_20150819_132043Dans le but de lutter contre le transport illégal, en général et Uber, en particulier, le Maire de Montréal Denis Coderre injecte de l’argent supplémentaire pour recruter de nouveaux inspecteurs, attirés au Bureau du Taxi Montréal (BTM).

À compter du 31 août 2015 prochain, deux postes d’inspecteurs temporaires seront ajoutés au Bureau du Taxi Montréal pour renforcer l’équipe d’inspecteurs en place, qui travaille déjà d’arrache-pied dans les multiples infractions liées au transport illégal dans la métropole québécoise.

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Le métier du chauffeur de taxi

Le métier du chauffeur de taxi démystifié:

 taxi montreal

Afin de vous faire découvrir en détail le métier de chauffeur de taxi
 et en quoi consiste son travail, c’est quoi ses outils et comment fait-t-il son travail au quotidien? Cet article vous apprendra tous ses aspects.

 

Notions générales sur le taxi

 

Pour commencer, c’est important de savoir c’est quoi un taxi?

 

C’est un véhicule destiné à transporter une personne ou un colis d’un point à un autre par un trajet le plus direct, moyennant un montant d’argent qui correspond au prix de la course encourue.

 

L’activité diffère des transports en commun par le fait que l’opération se fait de porte à porte, c’est-à-dire que le taxi laisse son client à une destination précise, une adresse exacte.

 

Il est important de savoir que le prix de la course d’un taxi varie selon la distance parcourue et s’il y a lieu, le temps d’attente. Grace au taximètre, il ne peut y avoir d’arnaque puisque ces appareils sont régulièrement contrôlés par un organisme agréé par la CTQ qui délivre un certificat de vérification du taximètre et ce dernier doit être toujours scellé.

Le véhicule taxi doit être toujours en très bonne condition et propre afin que la sécurité des passagers soit assurée et le chauffeur confiant car son outil de travail – la voiture – est dans un état impeccable.

 

Les cinq qualités indispensables pour être un bon chauffeur de taxi ?

 

Les qualités indispensables pour se lancer dans le métier de chauffeur de taxi sont :

–          Un courage à toute épreuve,

–          une santé de fer pour être d’une grande forme physique car rester assis derrière son volant pendant de longues heures n’est pas toujours une partie de plaisir,

–          être sociable et aimer travailler avec le public afin d’offrir un excellent service, fidéliser les clients et recevoir de généreux pourboires, particulièrement de la part des touristes.

–          Connaitre sa villes et son histoire car vous servirez en quelques sortes aux touristes d’un véritable guide,

–          et enfin, aimer conduire et être d’une vigilance sans faille sur la route.

 

 

Si vous préférez travailler 35 heures par semaine, ou cherchez à gagner convenablement votre vie en travaillant 8 heures par jour, en profitant des fins de semaines et vacances, ni pensez-y même pas, car ce métier n’est pas pour vous.

Car de jour comme de nuit, de fin de semaine et jours fériés le chauffeur de taxi, travaille aussi longtemps qu’il y a des clients à transporter, des courses à faire et de colis à livrer.

 

Les conditions de travail sont parfois difficiles, je peux vous citer le stress de la conduite, contrainte d’être assis dans son véhicule pendant de longues heures, travailler à différentes conditions métrologiques, tempêtes de neiges, été comme hiver et manger toujours à des heures variables quand cela lui est possible.

 

Un chauffeur de taxi travaille entre 12 heures et 18 heures par jour, voire plus. Il travaille 6 à 7 jours par semaine. Le chauffeur de taxi ne se contente pas seulement d’attendre les clients et de les conduire d’un point de départ à une destination quelconque. S’il veut travailler de façon rentable, il a tout intérêt à établir une stratégie et une façon d’organiser ses journées. Il doit savoir se trouver aux bons endroits (gares, aéroports, boîtes de nuit, clubs, discothèque…) et au bon moment, autrement dit, il doit être au courant et à l’affût des nouvelles politiques, sportives et culturelles et aussi des événements qui se tiennent en ville!

Même le propriétaire d’un taxi n’aura une bonne condition de travail que lorsqu’il aura remboursé son hypothèque et ses crédits d’achat de permis de taxi (200000$ en 2012), et de la voiture.

En contrepartie, le métier a ses avantages et ses points positifs. Le chauffeur de taxi a l’avantage de pouvoir organiser son temps de travail, être le seul maître à bord. Il est en quelque sorte son propre patron, son propre  »BOSS ».

 

Son instrument de travail est sa voiture équipée des outils de la profession tel un taximètre – aussi appelé compteur horokilométrique – est en effet installé dans le véhicule et calcule automatiquement le prix de la course, l’indicateur de tarif, système de communication radio, système d’information sur le trafic, terminal de paiement par cartes de crédits et débits, outils de téléphonie mobile, etc.

Deux statuts différents cohabitent dans la profession : les propriétaires conduisent leur propre véhicule et les chauffeurs locataires le louent à des prioritaires de véhicules taxi ou de propriétaires de flottes de taxis.

 

Propriétaire ou locataire, le « taxi » doit obtenir un « Un permis de chauffeur de taxi «Pocket ». Il ne peut exercer que dans la zone pour laquelle il a obtenu un permis pour.

 

Comment évolue le chauffeur de taxi?

 

Un peu comme un locataire de son appartement qui change de statut pour devenir propriétaire de sa maison, le chauffeur de taxi peut commencer comme chauffeur-locataire et espérer devenir prioritaire de son taxi et si tout va bien devenir propriétaire de sa compagnie de taxi ou de sa flotte. Au Québec, une compagnie ne peut avoir plus que 20 permis de taxi. Mais bon! Il y a toujours un moyen de détourner cette Loi, comme dans toute chose!

 

Le statut de chauffeur-locataire est bien souvent un passage intermédiaire avant de pouvoir exercer en tant que chauffeur-propriétaire, dans l’attente d’avoir l’expérience requise et la possibilité financière d’acquérir son permis de propriétaire de son permis de taxi.

 

Les chauffeurs de taxi peuvent orienter leur activité vers des transports spécialisés : scolaires, transport adapté aux personnes à mobilité réduite, livraison de médicaments etc.

Le transport par taxi est privé, c’est-à-dire le client loue le taxi et il est maître à bord. Par contre, on trouve aussi des taxis qui font transport public ou autrement dit taxi collectif, dans lequel plusieurs clients peuvent s’y trouver qu’on retrouve habituellement à certain terminus de train, de métro et d’autobus. Ils ont des contrats, en général, avec les compagnies de transport comme la STM, la RTL ou l’ATM.

 

Quel salaire gagne un chauffeur de taxi?

 

Le salaire d’un chauffeur de taxi se fait en moyenne à l’année car les journées et les semaines ne se ressemblent pas toutes, il y a des bonnes, des moins bonnes et des mauvaises. Selon ma propre expérience personnelle, ma meilleure journée était de 350$ et ma pire journée était de 17$. Il est très difficile de donner des chiffres relatifs aux salaires d’un chauffeur de taxi. De nombreux paramètres entrent en ligne de compte : statut, ville, nuit/jour, pourboires. En tant que chauffeur locataire d’un « taxi » peut envisager, en ville, un salaire NET moyen autour de 1 600/1 800 $ par mois. En tant que propriétaire, certains avancent des revenus NET possibles de l’ordre de 3000/3400 $ mensuels.

 

Vous voulez quand-même exercer le métier du chauffeur de taxi ?
Maintenant, si vous voulez quand-même faire le métier de chauffeur de taxi à l’issue de ce que vous venez de lire, alors, je vous invite à lire mon article comment-devenir-chauffeur-de-taxi/

Ceci dit, alors bonne chance à tous les futurs chauffeurs de taxis !

Comment débuter comme chauffeur de taxi : C’est parti, c’est l’aventure!

espace taxiAprès avoir brisé la glace en débutant ma première journée comme chauffeur de taxi,  et avoir franchi la première étape de commencer enfin à travailler avec des clients sur la route.
Après la première journée bien stressante où j’étais maladroit dans le peu de situations dont les courses se sont présentées, la deuxième journée était une continuité de la première et le contraire en même temps.

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